Sujet: [Galerie Fanfic'] Le Loup et l'agneau Mer 10 Juil - 18:48
Le Loup et l'agneau
Explication...
Bouh les gens ! Je suis dingue de posté mais bon, on ne m'en voudras pas ^w^ ... Je me suis mise à écrire une fic sur deux de mes chéri, des personnages que je n'ai pas inventé mais bon =3 .... Alan Humphries et Eric Slingby ! Je vais tenter de faire une fic sur eux, bien que ça va plus ressembler à du drame en fait .__. ( SETSUNAAAAAAAAAAAAAAAAAA, ALAN EST LAAAAAAAAAA !!!! o/ )
Je ne posterais pas la suite si personne me dit qu'il aime é_è ... J'vais pas poster pour rien non plus xD...
J'aurais un système bien a moi, tenez en compte è_é Désolé pour les fautes aussi .__. ... Ca va pas être du beau, ni les terminaisons des verbes XD
Grosso modo, c'est l'histoire d'un pauvre animal qui va finir dans les griffes d'un méga beau trop génial affectueux couillon salopart de Loup *ç* ....
Présentation des personnages
A Venir ~
La Fanfiction...
Chapitre One :
Je me suis rarement demander ce que pouvait bien être le bonheur. Tant qu’on me laissant avec mes livres de médecines et mes toiles, tout m’allait. J’avais tout ce qu’il fallait pour être qualifié de parfait intelligent, surtout es lunettes, alors qu’en réalité, je n’étais qu’un garçon banale d’une famille banale. Avec ces soucis banals et une vie banale. Nous sommes au XIXème siècle. En 1844. L’époque des grands ducs, des comtes et du roi de France. Calme époque. Mon père, grand médecin mais peu connu, avait eu une bonne place, mais en France. Nous étions anglais… Nous avons donc dû prendre le bateaux, traverser la Manche, abandonné ami et famille pour aller nous installer en Lorraine, plus précisément en bordure de Franche-Comté. Si j’avais su ce qui nous attendait là-bas, c’est sûr, jamais je n’aurais permis que nous partions … Le voyage avait durée 8jour, 8jour sans pouvoir se poser ni même souffler un peu… Juste les carrosses ou nous étions à l’étroit, la mer, et encore les carrosses. J’étais fils unique, ressemblant comme deux gouttes d’eau à mon père et ayant le vrai caractère de ma mère, médecin elle aussi assistant mon paternel. Enfin voilà, nous étions une petite famille comme les autres, mutés en France. Nous étions les Humphries. Je me souhaite, une belle vie ici…
~ ~ ~ ~
Nous étions au Printemps, au mois de novembre. Comme à son habitude, le garçon avait été réveillé par les rayons du soleil caressait ses fine joue de porcelaine, semblable à ceux des malade dans les hôpitaux. Nous vivions une drôle d’époque, de légende, de magie… La chambre ou logeait l’adolescent n’était pas bien grande, disons de taille moyenne, de quoi abriter une large bibliothèque, un bureau, une commode et un lit, plus une salle de bain à part. Etrangement, tout était tapissé de blanc, de noir et de violet. Les rideaux était fait de soie blanche assez fine mais tout de même opaque, dépourvue de volet, trouvant que cela lui gâchait trop la vue sur le paysage, le jeune garçon ne les fermais jamais. Tout encore à son habitude, il palpait doucement son chevet pour y trouver ses verres et les posé sur son nez, se mettant assit en baillant. Quelques minutes plus tard, une personne toqua à la porte et l’ouvrit. Le jeune homme admira la jeune femme, lui ressemblant en tout point, son portrait cracher, sa sœur dites-vous ? Non, juste Madame Humphries. Hélène. Elle s’approcha doucement du lit du garçon pour aller lui déposé un baisé sur le front et tenté les joues de ce dernier de rose en baillant une nouvelle fois.
« Ton père est déjà parti, et je ne vais pas tardez non plus… - D’accord, bonne journée ! »
Partir, le laisser seul, il en avait l’habitude, mais ça ne le dérangeais pas plus que ça. La dame repartis pour laisser le jeune homme se lever et s’habiller, passant par la salle de bain pour un brin de toilette. Il attrapa rapidement un volume sur son bureaux et pris e chemin du couloir. La famille vivait dans une demeure pour le moins pas banal. Ni luxueuse, ni trop belle. Juste un étage, 4chambre, 3 salle de bain, cuisine, salon, grande bibliothèque et encore d’autres, dans le style manoir du XVII. Descendant lentement les escaliers tout en se frottant les yeux, le jeune-homme fut bien vite entourée d’une demi-douzaine de chats. Se baissant au rez-de-chaussée pour les caresser un peu et les faire ronronner, il ne sentait pas la solitude un peu grâce à eux. Le sourire aux lèvres, il descendit dans ce qui aurait pu être la cave mais ce qui s’avérait être au final une bibliothèque souterraine. Médecine, astronomie, théâtre… Tous les rayons possibles et inimaginables étaient là, livres entreposé sur de large bibliothèque de bois, bois d’ébène, aussi noir que le charbon, aussi froid que la pierre… Le jeune homme était parvenu à l’autre bout de la pièce, un endroit reculé du monde, au calme, au frais, ne semblant pouvoir abriter aucune forme de vie possible. Cet étrange garçon aux yeux violet… D’un violet comme on ne l’avait jamais vu auparavant, et ses cheveux brun, aussi beau que les parterres de fleur en été.
Eh oui, une famille pour le moins normal, non ? Mais, vous n’avez pas encore lu la suite …
« Si j’avais su ce qui nous attendait là-bas, c’est sûr, jamais je n’aurais permis que nous partions … »
Une petite famille normal, avec des problèmes banals. Leur fils dormant actuellement dans la bibliothèque de leur petit chez eux, une sorte de petit manoir fait de pierre et reculer de tout, au calme. Cette étrange famille aux yeux violet et cheveux brun. Dans tous les cas, le jeune homme s’était endormit. Sur le canapé, tout au fond de la bibliothèque, entouré de chat. Il finissait sa nuit… Paisiblement, bercer par le doux bruit de l’innocence.
Chapitre Two:
Le soleil commençait déjà à décliner quand le garçon rouvrir les yeux. Se remettant assit, laissant tomber un ou deux chat qui était sur son ventre pour se lever et se frotter les yeux.
« … an !!! »
Un bruit sourd se faisait entendre dans la maison, des bruits de pas de plus en plus agiter dans les couloirs, mais aussi des larmes de panique et la mère au bord de l’évanouissement. Le garçon pris son temps mais remonta au salon où il aperçue ses parents du haut de l’escalier, ou Hélène sanglotait déjà et son mari, James, essayais de la calmer. Leurs regards étonné se posèrent sur le visage de l’adolescent qui penchant un peu la tête sur le côté en arquant un cil.
« Quoi ?... - Alan ! Ou étais-tu encore ?... Ta mère était au bord de la crise ! - .. Comme d’habitude, à la bibliothèque… »
James tourna sa tête vers Hélène, un petit sourire moqueur, pas bien méchant, aux lèvres. Effectivement, quelques minutes plus tôt il avait juré à sa femme que son fils était surement encore en train de lire au sous-sol, comme d’habitude, mais elle s’était entêté et n’avait rien voulu entendre, comme toujours. Elle vira au rouge, se cachant le visage avec ses cheveux. Une réaction pour le moins normal, pour une mère normal. Les deux hommes ne purent s’empêcher de rire et sourire tendrement, de vrais jumeaux, à 18ans près… La mère était tombé enceinte à 17ans, le père lui en avait déjà 18 passé. Le couple s’était rencontrer dans une bibliothèque, comme de part hasard. Se voyant de plus en plus et échangeant leur gouts pour la lecture, ils finirent par tomber amoureux et ne plus se quitté. Même à ce jour, où Alan avait bientôt 18ans, leur amour était encore aussi ardent que le feu de bois qu’une cheminé, et de cette amour était donc née Alan, ce jeune adolescent calme et si mignon d’après eux. La crise fut vite passé, le repas finis ils remontèrent tous dans leur chambre et ‘endormirent une nouvelle fois. Toutes les journées étaient devenues de simple copier-coller pour eux, bien qu’elle fût étrangement toujours différente en même temps. Le père et la mère travaillait dans l’hôpital de la ville, une belle bâtisse connu pour ses merveilleux soin et son haut taux de guérison. Alan étant un grand passionné, s’était entreprit de devenir à son tour médecin et suivait des études. Le jeune homme enfin propre et au frais, dans une chemise blanche qui faisais office de chemise de nuit, s’assit sur le bord de son lit en caressant un chat aussi blanc que la neige.
« Si tu savais comme j’ai hâte que les cours reprenne... Je commence à m’ennuyer ici… »
Il retira ses lunettes, s’allongeant sur le lit et s’endormant presque aussi vite qu’il ne faut de temps pour le dire. Le lendemain arriva tout aussi vite que la veille, mais le jeune homme était lever depuis plus longtemps. Il était invité chez un certain duc dont Alan n’arrivait pas à se rappeler le nom. Du moins, il ne voulait pas s’en souvenir. Les deux seuls jours de repos de ses parents depuis les 6mois qu’ils venaient de passé en France, et ils allaient les passer chez ce Duc. D’après ses connaissances, ils logeaient sur ses terres, donc s’était une personne importante… Installer dans la voiture, le soleil s’était lever il y a environs 1h, il devait être 9h du matin passé, mais la route était longue…
« Il vas y avoir beaucoup de monde ?.. - Comme à toute réception de Duc qu’il se doit… - Pourquoi nous y allons au juste ?... - Pour nous présenter à la société ! ton père commence à avoir du succès auprès des nobles… - Mais, la dame aussi, j’ai entendu bon nombre de rumeur sur le fait que la charmante accompagnatrice du Docteur Humphries est fantastique ! »
Le couple continua de parler sous le visage déçu et attendrie de leur fils. Le paysage n’était que plus magnifique à ses yeux quand ses parents souriaient. Ce n’était pas rare pour le garçon de tourner la tête vers ses parents et de les voir s’embrasser tendrement ou bien se taquiner comme de jeune amant. Une ambiance chaleureuse les entourait. Huit heures plus tard, la famille arriva devant les bâtiments du Duc. Plusieurs voitures étaient déjà arrivées. Après quelques paroles échangées avec son père et un homme de main du duc, Alan put aller explorer les alentours seul. Prenant donc un chemin au hasard tendit qu’on faisait visiter la bâtisse aux grandes personnes dans le but de retrouver leurs chambres le soir. Après un petit quart d’heure de marche, il arriva à une sorte de jardin dont les arbres offraient de l’ombre aux visiteurs. S’ayant au pied de l’un d’eux, il vérifia de bien toujours voir la bâtisse pour y retourner dans quelques heures. Une heure passa, et Alan commençait à s’assoupir avec sa petit tête d’enfant… C’est vrai que ce garçon était très mignon au final, un vrai corps efféminé. Peut-être même une santé fragile ?... Quand il rouvrit les yeux, cela devait à peine faire quelques minutes qu’il s’était endormit. Une jeune homme, blond, au cheveux tresser sur le côté droit, était accroupit, devant lui, une main posé sur son front.
« … Bah … T’aime dormir sous les arbres ?... - … Eh ?.. - Tous les invités son censé rester dans le manoir, non ? »
Quand il eut repris ses esprit, Alan eu un léger cris de surprise. Le jeune blond tomba en arrière sous la surprise et le regarda assez questionneur. Le jeune brun avait lever son bras devant lui, comme pour se protéger.
« On ne vous as jamais appris qu’il fallait réveillé les gens en douceur ?! - … Calme petit, je voulais pas te faire de mal, j’ai crus que tu avais fait un malaise… - Hein ?.. »
Il ne savait pas qui il était. Ni pourquoi il l’avait rencontré… Mais une chose était sûr, il ne le comprenait pas.
Chapitre Tree ::
Alan bougonna un peu, les joues un peu rosé. Il se releva et secoua ses vêtements rapidement pour retirer les quelques feuilles qui s’y était accroché. Regardant le blond en coin. Attrapant rapidement son livre, ses lunettes tombaient sur le sol. Il grogna un peu et se remit à genoux pour tenter e les attraper, mais le blond les attrapa avant.
« Tu vois pas sans tes lunettes ? C’est marrant ça ! - Ce n’est pas drôle … Rendez-les moi je vous prie. »
Une sorte de jeu s’engagea entre les deux jeunes hommes. Le plus grand s’amusait des réactions d’Alan qui tentait désespérément de lui reprendre ses lunettes en y allant à la charge. D’un mouvement très simple de fluide, le blond l’attrapa par la taille de son bras gauche, et pris son menton dans sa main droite, le collant presque lèvres à lèvres. L’adolescent ne pus empêcher ses joues de virer au rouge tomate. Le blond, quant à lui ne put retenir un rire, un rire cristallin, digne d’un roi des temps anciens.
« T’es plutôt mignon sans tes lunettes tu sais ?... »
Trop tard, Alan vira encore plus au rouge, les yeux écarquiller. Première fois de sa vie qu’on lui disait une chose pareille. Il baissa un peu la tête, totalement désarmé, le regard fixé sur les deux torses collé. Attendrit pas cette moue d’enfant gêné, Eric pressa ses lèvres sur le front du brun en lui reposant ses verres sur le nez en lui tirant la langue. Choqué, le jeune brun poussa sur le torse de l’inconnu et recula un peu.
« Arrête de te moquer... - He He... Tu ferais mieux de retourner au salon, le bal va bientôt commencer. - Je n’ai aucune envie d’y aller. - Pourquoi donc ? - Ca me regarde… »
Puis, il reparti en direction du manoir. Le blond ne put s’empêcher de murmurer un ‘ J’ai hâte de te revoir…’ . Quelques instant plus tard, Alan était de nouveau collé à ses parents, toujours un peu rouge. Ces deux derniers n’osant pas lui demander la raison qui l’avait fichu dans ce splendide état, finir par laisser tomber et se dire que ce n’était surement rien d’important. Une bonne parti de la soirée était passé, Alan s’était assoupit sur un des canapés, bien caché aux yeux de tous. Mais étrangement, il ne se sentait pas seul… Au contraire, une douce chaleur envahissait peu à peu le jeune homme. Même si la musique des valses s’enchainait et enchantait le manoir tout entier… Un garçon brun dormait paisiblement, tout au fond de la salle, sans que personne ne s’en aperçoive.
« Il as de la fièvre … Il a dû prendre un coup de froid… - Permettez, monsieur Humphries, je vais le porter dans sa chambre, et l’y allonger, il pourra s’y reposer à sa guise, et au calme, je veillerais à ce que l’on s’occupe de lui »
Doucement, des bras m’enlacèrent, en ouvrant les yeux, je ne vu rien d’autre que des tâches de couleurs… Blonde ? Brun ?... Tout se mélangeait. Une douce chaleur, bien que je me sentais faible, je laissa ma tête se poser sur le torse de cette personne et c’est avec la respiration courte que je le laissa faire.
« Tien bon, on va s’occuper de toi.. - Hm… »
La musique se faisait de plus en plus base, ou est-ce moi qui entendais juste moins ?... Je me senti doucement tomber sur une surface douce et fraiche. Me laissant tomber dans un monde que moi seul connaissait, le doux pays du rêve et de l’innocence. Sentant quelque chose de frais sur mon front. Ce n’était point la première fois que j’avais ce genre de fièvre, la nuit allait être longue … J’avais une maladie héréditaire, du nom de Shin To Ge. Une maladie assez étrange et semblant incurable… Mon père en était lui-même attend, nous étions tous deux condamné à mourir. Notre vie se jouait à peu de chose près. Ne pas … Se fatigué … Ne pas s’essoufflé, ne pas hurlé ou crié. Mais bon, au bout de quelques heures, on finit par s’endormir, la main accroché au niveau du coeur... Et on se réveil, comme si de rien n’était, et on évite d’en parler trop. A mon réveil, j’étais en chemise blanche, et il n’y avait plus personne dans la pièce, juste un mot « Nous sommes au salon, vient quand tu sera réveillé. ». J’allais avoir droit à une surveillance encore renforcé…
Alan se leva, pris de léger vertige mais fini par s’habiller et enfiler rapidement ses lunettes, déposant ses bagages près de ceux de ses parents. En ouvrant la porte, il s’aperçut que la demeure était immense. Ayant du mal à marcher, il ne s’attarda pas à admirer les magnifiques tapisseries, ni même les tableaux de famille. Sans même avoir eu le temps e dire ouf, James attrapa son fils par la taille en bas des escaliers et le souleva comme il aurait put faire avec sa femme, tournant un peu pour que finalement Alan l’enlacent et s’assoit sur son bras.
« Tu m’as fait peur … - Pardonne moi, j’avais oublié ma veste hier, je ne le ferais plus… »
Repris par les souvenirs de la veille, Alan recula un peu sa tête le temps que son père le repose par terre et qu’il passe sa main sur son front pour s’assurer que son père allait bien.
« Qui m’as porté hier ?... J’ai comme … De vague souvenir… - Le Duc Slingby … Mais il a dû partir d’urgence ce matin, tu ne le verras pas, nous partons dans une heure… - Ah… J’aurais aimé le remercier… »
Aussi dit, aussitôt fait. Il était à peine levé que déjà il était dans la voiture de retour. Mais les choses allait se précipité … Et bien plus vite qu’il ne le fallait.
« Monsieur, vos parents son mort. Il on eut un accident de voiture, votre mère est morte sur le coup et votre père lui, a fait une crise sorti de la voiture … Je suis désolé. »