Je devais avoir seulement cinq ou six ans à cette époque. Oui, cela devait être quelque chose comme ça, en tout cas mon pire cauchemar a débuté lorsque j'étais très jeune.

[ Souvenir ]

Je me réveillai très difficilement et vit que j'étais dans une chambre entièrement blanche, affreusement immaculée. Il n'y avait pratiquement rien, un lit, une table, une porte en fer et une fenêtre avec des barreaux laissant ainsi le soleil pénétrer dans la salle. Je sentis une odeur âcre qui me donnait la nausée bien que l'anxiété stimulait mon corps, j'avais peur mais pas assez pour me jeter sur la porte et appeler de l'aide, je savais déjà qu'il était trop tard et que cela ne servait à rien de perdre son sang-froid. Cela durait pendant plusieurs jours, plusieurs semaines, ces ordures n'avaient pas cessé de me torturer et ils se délectaient d'entendre mes cris. Et dire qu'ils croyaient faire tout ça pour le bien de la science, tu parles ! Ils faisaient seulement tout ça pour s'amuser et se défouler sur des victimes comme moi. Je pouvais tout entendre durant ma séquestration, les cris d'autres enfants et d'autres femmes ; tout cela était horrible, je pouvais sentir mes larmes couler quand je les entendais se déchirer sous ces affreuses personnes. Je n'en pouvais plus ! Mais pourtant cela ne s'arrêtait pas, il durait perpétuellement et pendant des mois et pendant des années.puis un jour j'avais rencontré un petit garçon, il devait avoir le même âge que moi et était pratiquement dans le même état que moi, un peu moins pire, on avait discuté et on s'entendait bien. Puis soudain, la nuit, il m'aida à m'évader; il avait réussi à obtenir les clefs de nos portes et était venu me secourir, on avait couru jusqu'à la sortie, une grande porte blindée. On arrivait finalement à ouvrir tous les verrous de cette satanée porte, et quand nous sortons finalement je sentis enfin de l'air frais, plus cette sale odeur de sang et de moisi. Nous courions quand j'entendis un coup de feu, un bruit sourd et un cri. Je me retournai et le voyait grièvement blessé à l'épaule. On entendait la voix de ces psychopathes, et il me dit de m'enfuir... Je voyais tout ce sang couler mais pourtant il avait encore la foi de m'aider, je refusai et essayais de le porter mais étant trop faible, je ne fis que m'écrouler sous son poids. Il me hurla et me dit de m'enfuir tandis que lui retiendrait ces "scientifiques". Je reteins mes larmes et m'enfuis comme une lâche le laissant derrière, avec ces horreurs. Je l'entendis hurler et pleurer, mais je ne m'arrêtais pas, je continuais avec ma douleur et mes larmes aux yeux.

Ils avaient récupérer des orphelins, ou des femmes et leurs enfants, je suis orpheline mes parents ayant était tuer quelque mois après ma naissance, j'ai grandis seule dans la rue et la j'y était retourner,  je grandissais de plus en plus, seule et je commençais à me faufiler dans les rues de Saint-Pétersbourg pour trouvé une école digne de se nom, je commençais à prendre des cours et paraît-il j'étais douée en science, après tout ce que j'avais vécue je ne trouvais pas sa illogique, les sciences humaine les molécules et les ions commençais à me passionné, je commencer également à parler très bien tout sorte de langue, bien que le russe était et est toujours ma langue principal, le français est un jeu d'enfant pour moi je le parle aussi bien que je l'écrit c'est à dire plutôt bien, je suis devenue une jeune fille taciturne sérieuse et angoissée. Je suis partit en France vers mes quatorze ans, aillant bosser comme une dingue pour me payer un billet d'avion je savais que la froideur de la Russie me manquerais, mais j'étais tout de même heureuse, plus tard j'allais intégrer un lycée et je ne voulais pas être déçue pas comme au collège ou les enfants était démoniaque entre eux....

■ Un(e) Amoureux ( se)...Avec qui elle partagera tout et qui comble son manque d'amour et de câlin~..
■ Un (une) Meilleur ami(e), personne avec qui elle partagera ses secret..
■ Ennemi, une personne avec qui l'embêtera et qu'elle détestera plus que tout..
■Une personne jalouse d'elle, homme ou femme, qui voudras prendre sa place.
■Un homme qui la voudras pour lui, mais dons elle ne serra pas amoureuse..