J'avais réussi à nous faire aller en cours, alors qu'aucun de nous deux en avait vraiment envie. On n'était plutôt occupé à s'exciter mutuellement, mais j'avais tout gâcher quand j'avais parlé qu'on allait être en retard à l'école. Je ne voulais pas manquer notre première journée de cours. Lui il avait redoublé, donc il ne s'en sortirait pas trop mal, moi je suis plutôt intelligente donc cela devrait aller. Mais si je n'ai pas le cours, je ne peux pas apprendre, donc je ne peux pas savoir ce qu'il faut.

Bref on était en cours quand je ne me sentis pas bien. J'avais préparé un déjeuner, mais moi j'ai complètement oublié de manger quelque chose à cause des conneries de mon frère. D'habitude je prends le temps de manger au moins un croissant, mais là je n'avais pas eu le temps déjà me rendormir avait été une mauvaise idée. Et maintenant je me retrouvais à l'infirmerie, car j'allais faire un malaise. Je devais manger du sucre et après j'irais surement mieux, je pourrai retourner en cours.

Déjà la professeur m'avait regardé bizarre avant que je quitte la salle. Je crois bien qu'elle m'aime pas. Peut-être à cause de mes yeux roses ou de mes cheveux en blancs. De toute façon si je n'étais pas bien c'était de sa faute à lui. Il n'avait qu'à pas me taper et me donner envie de lui. Je soupire. Il m'a suivi jusque l'infirmerie, bon il a eu l'accord de la professeur je l'ai entendu dire oui. On dirait qu'elle l'aime bien, alors que moi elle me déteste déjà.

J'ai déjà envie de tuer toutes les personnes qui le regardent. Tout le monde se retourne sur son passage. On voit bien qu'il va devenir populaire. Plusieurs de ses copains lui avaient demandé qui j'étais et pourquoi j'étais avec lui. Je m'avais énervé contre eux, je n'aime pas les personnes qui s'occupent de la vie d'autres personnes. Je ne vois pas l'intérêt de connaitre la vie de quelqu'un si tu ne l'aimes pas en amour. Je suis curieuse aussi, mais eux on n'aurait pas dit de la curiosité, mais quelque chose de malsain. J'ai pris peur du coup je me suis mise direct sur la défensive.

Je prends un sucre et un verre d'eau dans l'infirmerie. Il n'y a personne à par moi et lui. Il va surement me demander ce qu'il m'arrive. Je vais lui expliquer avant qu'il me demande.

- Je vais bien. J'ai simplement oublié de manger à la maison du coup j'allais faire un malaise... Ce n'est rien d'accord ? On peut retourner en classe ou je dois m'allonger sur l'un des lits de l'infirmerie ?

Je sais très bien qu'il va me dire que je dois rester là et me reposer. Je n'ai pas envie de rester seule et la prof ne lui a pas dit de revenir en cours après m'avoir déposé ici, si ? Je m'assoie sur l'un des lits. Je le regarde dans les yeux.

- Adrian... Tu restes avec moi ? Tu me laisses pas seule ?

Je fesais mon enfant, mais je ne voulais pas être séparé de lui. J'avais peur que pendant mon absence une fille venait le draguer.

Nous étions arriver en cour, c'est sur que j'aurais voulu rester à la maison continuer de m'amuser avec ma soeur et peut être lui faire des trucs très vilain mais bon de toute évidence nous étions déjà partit, déjà pendant le trajet je voyais qu'elle n'allait pas bien mais si je lui aurais demander elle m'aurait sauter au cou pour me dire que tout allait bien, elle voulait aller en cour de toute façon, malade ou non l'école elle aimait vraiment cela.

Je me suis dis qu'elle n'était pas bien parce qu'elle n'avait rien manger et je ne pouvais pas confirmer ma théorie vu qu'elle pouvait avoir autre chose, elle voulait aller à l'infirmerie et je me suis dis que je ne devais pas la laisser y aller seul de peur qu'elle tombe dans les couloirs ou quelque chose ainsi, je ne voulais pas qu'il lui arrive quoi que ça soit, elle devait surement manger quelque chose j'étais sur que c'était cela.

Le professeur lui n'était pas vraiment convaincu lorsqu'il la laissa partir, je demanda directement si je pouvais l'accompagner et le professeur me répondis "oui" avec un grand sourire, je lui souris en retour et suivi donc ma chère petite sœur jusque la bas.

Des copains s'étaient retourner sur son passage car ils étaient étonné de me voir avec elle, j'étais en première année mais bon lorsque je passais dans les couloirs, beaucoup de regard se tournais vers moi me demandant souvent qui j'étais pour elle, je ne leur répondais pas simplement que "je n'ai pas le temps" je ne voulais pas qu'elle soit énerver, je me suis dis qu'une fille en général c'était vraiment jalouse donc il ne faudrait tout de même pas la mettre en rogne, elle pris un sucre et un verre d'eau lorsque nous étions arriver à l'infirmerie, il n'y avais personne car le docteur était partit nous laissant ainsi tout seul, elle me dit ensuite.

- Je vais bien. J'ai simplement oublié de manger à la maison du coup j'allais faire un malaise... Ce n'est rien d'accord ? On peut retourner en classe ou je dois m'allonger sur l'un des lits de l'infirmerie ?

Je ne pouvais pas la laisser retourner en cours, elle allait peut être mieux mais on sais jamais elle pourrait une nouvelle fois se sentir mal et repartir dans une fatigue continuelle, je me suis lever à cela et je suis partit fermer vite fait à clef l'infirmerie vu que de toute manière le médecin avait dit qu'il ne viendrait pas avant une ou deux heure, assez de temps pour qu'elle puisse se reposer, je ne voulais pas qu'elle sorte d'ici malgré que je savais qu'elle le voudrais, je me suis retrouver près d'elle, elle m'avait dit plus tôt
en me regardant dans les yeux.

- Adrian... Tu restes avec moi ? Tu me laisses pas seule ?

Je lui souriais pour la rassurer, je soupira un moment et répondis d'abord au première parole qu'elle m'avait dit.

-Tu va peut être bien mais de toute manière tu dois te reposer ... Désoler de ne pas t'avoir laisser manger ce matin ...

Je me sentais vraiment désoler pour cela, je mis une main sur son front et sentis qu'elle n'avait pas de température, je la regardais dans les yeux puis la pris dans mes bras pour la câliner un peu.

-Ma chérie, repose toi il vaux mieux.

Je la lâcha un peu pour la déposer sur le lit, je restais à ses côtés et la regardais avec un grand sourire rassurant, je n'allais pas partir de toute manière, je n'avais pas besoin de lui répondre et de lui dire que je n'allais pas la laisser seul car de toute façon je ne pourrais pas le faire.

Je vais bien. J'ai simplement oublié de manger à la maison du coup j'allais faire un malaise... Ce n'est rien d'accord ? On peut retourner en classe ou je dois m'allonger sur l'un des lits de l'infirmerie ?

Je savais très bien qu'il ne me laisserait pas retourner en cours, alors que j'allais mieux. Dans un sens c'est bien d'avoir un grand frère dans le même lycée que vous et dans la même classe, mais dans un autre sens c'est chiant, car vous êtes surveillé en permanence et vous ne pouvez pas faire ce que vous voulez et être aimé de son grand frère en amour n'arrange pas les choses. Je crois que si un garçon m'approche de trop près, il va l'étriper comme moi j'aurais envie de tuer toutes les filles qui l'approchent. Et étant donné que j'ai souvent des réactions d'enfants ma jalousie en pire, car je ne veux pas qu'on touche à mon bien le plus précieux.

L'infirmière avait dit qu'elle ne reviendrait pas avant deux bonnes heures, alors j'ai le temps de me reposer dans l'un des lits qui est mit à la disposition des élèves qui se sent pas bien. Elle n'avait même pas essayé de savoir ce que j'avais. Elle avait simplement dit qu'elle devait faire quelque chose, donc qu'elle ne serait pas là avant un moment. Je soupire, j'allais me diriger vers la porte pour pouvoir m'enfuir de cette pièce. Je n'ai pas envie de rester dans l'infirmerie deux heures, moi. Mon frère se dirige très vite vers la porte et la ferme à clé. Je deviens blanche, il va me forcer à rester ici. Je ne veux pas, mais je n'ai pas le choix, alors je lui demande s'il reste avec moi.


- Adrian... Tu restes avec moi ? Tu me laisses pas seule ?

Je sais, je réagis comme une enfant. Je ne veux pas être seule dans cette infirmerie, je ne veux pas me retrouver seule. J'ai peur de la solitude. Une semaine à être seule dans ma chambre m'a suffi, je ne veux plus me retrouver sans personne pour me montrer qu'on m'aime malgré mes yeux que je ne suis pas un monstre. Il a que lui qui a toujours été la pour moi, je ne veux pas qu'il me laisse seule maintenant, alors que je lui ai avoué qu'il me faisait de l'effet plus tôt dans la matinée.
Il me sourie pour me montrer qu'il ne va pas me quitter. Je lui sourie en retour, je suis heureuse qu'il accepte de rester avec moi tant que je me repose. Il m'aurait dit non, je l'aurais suivi quand il serait parti de l'infirmerie. Je ne peux pas envisager de rester seule dans une pièce sauf la salle de bain, mais cela est plutôt normal quand tu y réfléchis bien.

-Tu va peut être bien mais de toute manière tu dois te reposer ... Désoler de ne pas t'avoir laisser manger ce matin ...

Je ne lui en voulais pas, bon d'accord je lui en voulais un peu, car à cause de lui, je manquais les cours, mais ce n'est pas de sa faute non plus. Il ne pouvait pas savoir que je n'avais rien mangé avant de me rendormir et pendant que je m'amusais avec lui. Il n'a pas besoin de me présenter des excuses, c'est moi plutôt qui devrait lui demander pardon de l'inquiéter comme cela.

Il me touche mon front. Il doit surement regarder si j'ai de la fièvre, je n'en ai pas, je sais très bien que je vais bien. J'ai simplement eu un manque de sucre et maintenant j'en ai mangé, donc il n'avait plus de danger, mais pour le faire plaisir, je ne vais pas me plaindre et rester ici avec lui. Je vais profiter de ses deux heures pour le câliner. Je n'ai pas pu le faire quand on c'est réveillé trop concentrer à se chamailler.

Il me prend dans ses bras. Je me blottis direct contre lui. Je me souviens de quand j'étais petite et que je faisais des cauchemars il me mettait contre lui et il me laissait écouter son coeur pour que je me calme en me caressant les cheveux. Je voudrais pouvoir le refaire, entendre son coeur me manque un petit peu.

-Ma chérie, repose toi il vaux mieux.

Il me pose dans le lit. Je le tire à moi et je m'allonge, je ne veux pas être la seule à me reposer. J'ai envie qu'il dort avec moi. De plus s'il je n'ai pas un corps contre le mien je ne trouve pas trop le sommeil. J'ai besoin de la chaleur humaine pour me retrouver dans un autre monde. Je l'embrasse rapidement sur les lèvres et je le sourie. Je l'aime tellement, il ne peut pas savoir.

- Pas de ta faute. Je t'aime Adrian

Je lui prends la main et je la lui mets sur ma poitrine. Mon coeur bat la chamade et avec sa main sur ma poitrine, il doit le sentir battre. Je lui prouve ainsi que mes paroles ne sont pas dû tout du flanc.

Je lui avais toucher le front pour voir si elle avait de la fièvre mais heureusement elle n'en avait pas, je prenais soin depuis qu'elle était petite j'étais réellement sont grand frère malgré que mes sentiments n'était pas tourner ainsi, elle manquait de sucre et maintenant elle allait surement bien deux heures avec elle dans une pièce enfermer je ne savais pas vraiment comment cela allait se passer, si ça allait repartir en sucette comme à la maison ou si elle allait simplement se reposer, je l'avais prise dans mes bras justement pour qu'elle se mette bien et pour la calmer, elle pouvait entendre mon coeur qui battait assez fort.

Je lui avais dit qu'elle pouvait se reposer, je la posa sur le lit et je me sentis tirer vers elle, je me mis d'un coup sur le lit vu que c'était un lit à une place mais assez grand, je pouvais être au dessus d'elle en califourchon, elle avait toujours besoin de chaleur pour s'endormir et cela je le savais depuis longtemps voici aussi la raison pour laquelle elle était toujours dans mon lit lorsque nous étions seule, elle passait ses nuits dans mon lit au lieu de les passés dans le siens.

Elle m'embrassa rapidement sur les lèvres et me sourie, elle me dit ensuite.

- Pas de ta faute. Je t'aime Adrian

Je le savais d'un côté qu'elle m'aimait car moi aussi je l'aimait, je ne pouvais m'empêcher de lui sourire et lui remettre le baiser qu'elle m'avait fait la tout de suite, elle mis ma main sur sa poitrine, sont coeur battait vraiment très vite signe qu'elle m'aimait vraiment mais je voulais lui faire comprendre que je l'aimais aussi.

-Je t'aime aussi Larissa ...

Je ne pu m'empêcher de commencer doucement à lui tripoter la poitrine, je ne savais pas si elle en avait envie mais mettre ma main dessus ainsi ça allait surement m'exciter, elle le savait de toute manière qu'il ne fallait pas faire ce genre de chose et que j'étais un grand dragueur, ma main était entrain de lui masser sa poitrine et j'approchais doucement mes lèvres des siennes pour l'embrasser langoureusement, nous nous embrassions jusqu'à ne plus en avoir de souffle, je retira mes lèvres des siennes et continua de m'amuser avec sa poitrine, mon autre main vint alors s'amuser avec sont autre seins pour ne pas que celui ci sois comme qui dirait jaloux, je ne savais pas si elle allait me repousser ou si nous allions rattraper maintenant ce que nous avions perdu ce matin bien que nous nous étions dit que nous allions nous amuser ce soir, de toute manière j'étais déjà partit dans ma lancé et il fallait qu'elle m'arrête elle même si elle n'en n'avais pas envie.

Je me suis demander ce que cela faisait de se faire toucher la poitrine ainsi, je n'en n'avais pas donc je ne pouvais pas savoir si cela lui faisait du bien ou non, je m'approcha une nouvelle fois de ses lèvres pour cette fois les mordre, c'était encore une petite vengeance à ce matin elle m'avait fait mal lorsqu'elle m'avait mordu la lèvre.

Je soupira retirant doucement mes lèvres continuant encore de lui masser la poitrine, je retira ma chemise et le Tee-short que j'avais en dessous car je savais qu'elle aimait voir mon corps, malgré qu'elle le faisait discrètement je savais quand elle me matait à la maison ou non.

-Tu es tellement belle que tu m'excite simplement en te regardant ...

Je lui disais cela d'un air assez coquin et assez poser, je lui avais dit cela sans vraiment m'en rendre compte mais en tout cas c'est ce que je pensais, elle était vraiment belle ma petite soeur, d'une beauté incroyable en plus sa poitrine était tellement magnifique presque aussi magnifique qu'elle, elle m'excitait vraiment, je continuais de masser sa poitrine voluptueuse mais mes mouvements étaient plus doux qu'il y a deux seconde.

Je l'aime depuis toujours. Il a fallu simplement que je grandis pour m'en rendre compte. Maintenant que je l'ai, je ne le laisserai plus partir pour rien au monde. Je ne laisserai personne se mettre en travers de nous. Je veux vivre le restant de ma vie avec lui. Peut-être que plus tard non sentiments amoureux s'éteindront, mais pour le moment ce n'est pas le cas, alors autant en profiter. Je lui sourie et lui pose ma main contre ma poitrine. Je fais cela pour lui montrer que mon coeur bat la chamade, mais en le connaissant il va prendre cela aussi pour autre chose. Il a toujours été charmeur et dragueur. J'ai beaucoup pleuré le soir, car je le voyais draguer une autre fille. Je ne comprenais pas ce qu'il m'arrivait à ce moment-là. J'ai tout compris quand j'ai pris conscience de mes sentiments pour lui. Un amour interdit qui commence à fleurir tout doucement qui risque d'éclater à tout moment si une personne nous découvre. Adrian risque de prendre peur et de me laisser seule ou bien il assumera son penchant pour moi devant tout le monde. Je pense plutôt pour la solution numéro un cela me détruit le coeur de penser à cela, mais bon.

-Je t'aime aussi Larissa ...

Il m'aime aussi. J'en suis soulagé, je sais qu'il n'ira pas voir une autre fille. Je n'ai plus besoin de m'inquiéter pour les filles qui lui tournent au tour. Enfin c'est plus facile à dire qu'à faire, je risque d'avoir dû mal à ne pas être jalouse. Je suis possessive envers les personnes que j'aime, je n'arrive pas à concevoir que quelqu'un veut me prendre ce que j'aime. Il y a beaucoup de personnes dans le monde, alors je ne peux pas comprendre pourquoi lui et pas un autre ? D'accord, je dois arrêter de réfléchir comme une enfant et plutôt penser comme une adulte, mais c'est dur de se battre contre sa propre personnalité.

Il commence des caresses sur ma poitrine. Je me demande pourquoi il fait cela, mais je ne proteste pas. J'aime bien sentir ses mains sûr moi. Ses caresses me donnent envie de plus, mais je ne ferais rien sans être sûr qu'il en a envie aussi. Ce matin en nous levant, on l'aurait fait si je n'avais pas demandé pour aller en classe. Mais là, il veut ? Moi j'en aurais envie, mais il a un risque qu'on se fasse prendre. Quelqu'un pouvait à tout moment taper à la porte. Elle était peut-être fermée à clé, mais on pourrait quand même nous entendre si on fait du bruit et je n'ai aucune envie d'être discrète. S'il me fait du bien, je voudrais lui montrer que j'aime cela en gémissant ou en criant son nom.

Je commence à perdre légèrement la raison avec ses lèvres qui se posent contre les miennes. J'ouvre la bouche pour lui laisser le passage. Je sens sa langue venir à la rencontre de la mienne. Je joue avec elle, on se fait un défi lui qui bat l'autre pourra faire ce qu'i veut du corps de son partenaire pour le moment. Je perds la bataille, mais je m'en fous, car ses mains expertes sont encore entrain de me masser la poitrine tandis qu'il arrête notre baiser, car nous n'avons plus de souffle. Il rajoute l'une de ses mains pour la mettre sur mon autre sein. Il commençait à être jaloux, alors c'est comme un soulagement qu'il lui procure des caresses aussi.

Mon souffle est saccadé, j'ai dû mal à respirer à cause de ses mains qui me procurent des sensations encore inédit jusqu'à ce jour. Je me demande de suite ce que cela ferait si nous allons jusqu'au bout. Je lui avais promis en quelque sorte de mon donner ce soir, alors si on met cela à maintenant ça changerait quelque chose ? Je ne pense pas, à part que chez nous nous n'avons aucune chance de nous faire surprendre, alors qu'ici il a le risque, mais je m'en fous je veux prendre le risque de toute façon, je ne peux plus lui résister, il est trop tard. Je suis partie dans le monde le la luxure avec lui comme maître. Je ne sais pas si je vais être sa première fois en tout cas il va être la mienne. Je n'avais jamais pensé à le faire avec quelqu'un avant lui, mais il est spécial, c'est celui que j'aime.

Il me mord la lèvre. Je laisse un aie sortir de ma bouche. Pourquoi il me fait mal, alors que tout était si bon ? J'ai fait quelques choses de mal ? Si c'est le cas, j'en suis désolée. J'allais m'excuser quand je vois qu'il retire sa chemise et son maillot. Je fixe tout de suite son corps, je l'avais déjà vu de loin, mais j'aimais d'aussi près. Je passe ma main contre son torse et je le regarde dans les yeux. Il est si beau. J'ai un petit peu de bave au coin de mes lèvres, mais je m'en fous, je ne fais pas attention à cela. Mon regard est trop captivé par Adrian. Il est si élégant que je ne comprends pas comment il fait pour s'intéresser à moi enfin on dit que l'amour rend aveugle et cela m'arrange dans mon cas. Je ne suis loin d'être à sa hauteur niveau beauté. Je ressemble trop à une poupée, alors que lui il ressemble au mannequin qu'on voit dans les magazines.

-Tu es tellement belle que tu m'excite simplement en te regardant ...

Je ne suis pas si belle que cela. Il ne sait pas regarder dans un miroir avant de parler. C'est lui qui est tellement beau. C'est lui qui m'excite qu'avec son torse. Je n'ai même pas besoin de le toucher pour avoir besoin de lui. Rien que ses yeux me donnent envie de l'embrasser, de le déshabiller et de le faire mien à tout jamais. De plus il me dit cela d'une façon très coquine. Je me mords les lèvres pour ne pas lui sauter dessus. J'étais sensée me reposer au départ, mais maintenant c'est mort. Je vais le faire mien. J'ai trop envie de lui pour m'endormir. Il continue de me caresser, mais il va plus doucement, moi je continuais mes mouvements sur son torse, mais pour plus, il fallait que je retire quand même quelques vêtements.

Je l'arrête à contre coeur pour pouvoir retirer la chemise que je porte. J'enlève les boutons un à un. Il me laissait voir son torse, alors à moi de lui laisser voir ma poitrine plutôt généreuse. Fini d'enlever les boutons, je laisse ma chemise glisser sur mes bras. Je dégrafe mon soutien gorge et je me rallonge sur le lit. Je me laisse complètement à ses soins. Je vais peut-être le regretter plus tard, mais pour le moment cela va être le plus beau jour de ma vie.

- Fait ce que tu veux Adrian... Je suis rien qu'à toi...

-Tu es tellement belle que tu m'excite simplement en te regardant ...

C'était la vérité, elle était vraiment trop belle et elle m'excitait un truc de malade, je ne pouvais résister à cette envie de lui faire ce que j'avais toujours voulu lui faire lorsqu'elle était dans mon lit, depuis qu'elle était petite je le savais d'une certaine façon qu'elle attachait de l'importance pour moi mais moi j'étais surtout entrain de m'occuper d'autre fille, je n'avais jamais couché avec l'une d'entre elle car je voulais me réserver pour la vrai et non de fausse fille, de plus elle grandissait de plus je pouvais voir à quel point elle était belle et bonne par dessus tout, elle avait un corps d'adulte avec une âme d'enfant, je l'aimais de plus en plus mais c'était au moment ou elle m'embrassa que j'avais réellement compris qu'elle m'aimait et que je l'aimais, nous étions surement dans un amour interdit mais de toute façon on s'en foutais car rien n'est plus fort que l'amour en tout cas c'est ce que je pensais et je n'allais rien mettre en travers de mon chemin.

Je ne pouvais plus résister, sentir ses lèvres contre les miennes, sentir sa langue s'enlacer contre la mienne, lui toucher sa poitrine et ressentir ce bien être au fond de sois, cela m'empêcher de m'arrêter que l'on se fait prendre ou non je m'en foutais, l'infirmier avait dit dans 2 heure donc personne ne devait entré en attendant et de toute façon je m'en foutais, je me suis donc déshabiller le torse, elle touchait celui ci en faisant des vas et viens sur toute la longueur de celui ci, cela avait pour effet de m'exciter toujours autant, elle se mordait les lèvres et moi les miennes, j'allais plus doucement dans mes caresses et elle arrêta d'un coup, je me suis demander d'abord pourquoi elle faisait cela mais je compris après quelque seconde.

Elle retira sa chemise puis retira son sous vêtements, mon coeur battait vraiment vite et j'étais sur que cela lui faisait le même effet, je pouvais sentir mon membre prendre du volume et devenir plus grand, je pouvais sentir celui ci s'exciter et commencer à laisser sortir une toute petite substance collante et visqueuse, elle s'était rallonger sur sont lit et me dit ensuite.

- Fait ce que tu veux Adrian... Je suis rien qu'à toi...

Ce fut la goute qui vint déborder le vase, elle me donnait le feu vert pour faire ce que je voulais d'elle, elle disait qu'elle était rien qu'à moi, quel preuve d'amour, je ne pouvais m'empêcher de masser sa poitrine avec mes mains, cette poitrine était si douce et si voluptueuse que j'en bandais carrément, j'étais bien évidemment en érection mais cette excitation voulait que je fasse sortir de mon slip mon membre, j'essayais de résister pour le moment, je me focalisais sur sa poitrine généreuse et vint ramener mes lèvres sur celle ci, je commençais doucement à lui sucer les tétons et à les lui lécher tout en continuant de lui masser l'un des deux seins, après avoir sucer quelque fois et lécher ses tétons, je vint ramener mes lèvres sur les siennes pour l'embrasser, je l'embrassais langoureusement pour ensuite remettre mes lèvres sur ses tétons et sur sa poitrine.

-Tu es vraiment magnifique .... Je ne peut plus tenir ....

Je continuais ce que j'étais entrain de faire puis je me décolla rapidement d'elle pour enlever rapidement ce que j'avais c'est à dire mon pantalon, j'en profita pour enlever son bas pour que nous soyons tout les deux à nue, je me suis remis sur elle et surement qu'elle pu constater que mon membre était vraiment en érection, on pouvais même voir des tâches qui montrait que cette substence était passé à travers mon slip, je recommençais mon étreinte sur sa poitrine voluptueuse et généreuse puis remis mes lèvres sur ses tétons, je vint mettre doucement ma main sur sa culotte pour la caresser par dessus celle ci.

-Larissa ......... Je te veux.

Fait ce que tu veux Adrian... Je suis rien qu'à toi...

J'avais vraiment dit cela ? Je suis une idiote, je fais trop dans le guimauve là. Bien sûr que je suis à lui. Je l'aime, donc c'est normal que je sois sienne, mais pourquoi je le lui dis cela maintenant ? Car je veux lui donner mon corps ? Bon de toute façon il est trop tard pour retirer ses paroles. Je lui ai dit ce que je ressens sur le moment. Je ne peux pas lui cacher quelque chose, il faudrait que j'apprends, car il a des émotions qu'il ne devrait pas savoir. Quand je suis triste, je n'ai pas envie de lui montrer, je n'ai pas envie qu'il s'inquiète pour moi.

Je sens ses mains se réactiver sur ma poitrine. Cela me fait encore plus de sensation étant donné qu'il n'a plus de tissu pour m'empêcher de sentir la douceur de ses mains contre ma peau. Je le regarde dans les yeux, je ne sais pas ce qu'il va faire de moi. Je lui ai donné le feu-vert pour faire tout ce qu'il veut de moi. Je mouille à cause de ce que j'imagine ; lui entrain de me prendre sur ce lit. De toute façon je pense que c'est ce qu'il va se passer, nous allons le faire ici dans cette infirmerie. Nous avons moins de deux heures avant que l'infirmière revient, nous avons largement le temps de faire tout ce qu'on veut depuis ce matin.

Ses lèvres vont sûr ma poitrine. Je me demande ce qu'il va faire maintenant que sa bouche est là. Je n'ai jamais rien fait avant ce jour, alors je ne sais pas vraiment ce qu'il va se passer. Je me suis simplement imaginée ce qu'il pourrait arriver, mais je ne sais pas si cela se passera comme cela en vraie, je vais en avoir la preuve aujourd'hui si ce que j'imaginais est la réalité ou bien simplement un rêve. Il me suce et me lèche les tétons, cela ne me fait pas grand-chose à part me les faire pointer et me donner envie d'un peu plus, mais j'ai envie depuis tal de plus, donc cela ne change rien. Ma respiration s'accélère de plus en plus. Je ne savais pas que quand on avait autant envie de quelque chose, on était frustré comme cela.

Il s'arrête et vient m'embrasser sur mes lèvres. Je réponds avidement au baiser. Je ne veux pas qu'il me laisse. Il ne faut pas qu'il me laisse un jour tomber pour une autre personne. Il est à moi rien qu'à moi, alors il n'a pas le droit de me quitter un jour, car il aura trouvé mieux que moi. Le baiser terminer, il va reprendre sa place de départ ; ses lèvres tout près de mes tétons. J'ai envie de lui dire de faire autre chose, car cela me donne tout simplement envie de plus et ne me fait rien d'autres que m'excitait.

-Tu es vraiment magnifique .... Je ne peut plus tenir ....

Une phrase qui ressemble trop à celle qui m'a dit pus tôt, mais cette fois il a quelque chose qui me fait sourire. Il ne peut plus tenir, ah bon ? Alors pourquoi il ne va plus vite au lieu de me faire languir. Moi aussi je ne peux plus tenir et je ne me plains pas pour autant. Bon si dans ma tête, mais il ne peut pas savoir ce que je pense, donc bon ce n'est rien. Il se décolle de moi. Je me demande pourquoi, il n'a pas le droit de s'arrêter maintenant, alors que j'en peux plus. Il retire son pantalon. Je le regarde de bas en haut, je ne l'avais jamais vu en sous-vêtement. Il a beau se balader en torse nu, il ne me laisse pas voir le bas. J'ai même déjà failli lui dire qu'il pourrait se dénuder plus... Je me suis retenue, je ne voulais pas qu'il sait que je le matte même si je me doute qu'il le sait. Il est aussi intelligent que moi.

Il m'enlève aussi mon bas. Il peut maintenant se rendre compte que j'ai mouillé. La substance avait traversé le tissu de ma culotte, mais de toute façon je n'étais pas la seule qui avait perdu du liquide qui sert pour la lubrification ce qui aide pour la pénétration et pleins d'autres choses tant que c'est sexuel. Je m'étais un petit peu renseignée sûr ce sujet, mais je ne pense pas qu'il soit au courant et tant mieux. Je n'ai pas envie de lui expliquer pourquoi je me suis renseignée sur cela.
Il replace sa bouche sur mes tétons, mais il ne peut pas les laisser en paix ? J'ai envie que sa bouche vienne autre par moi. Bon je dois m'en tenir qu'à cela pour le moment. Il finira par comprendre que je veux plus. Il met sa main sur ma culotte. Cela devient intéressant. Tu peux même me la retirer si tu veux, de toute façon il va falloir l'enlever pour faire ce que j'ai envie de faire. J'en ai marre de devoir attendre qu'il se décide à me faire du bien et de me laisser lui faire du bien.

-Larissa ......... Je te veux.

Il me dit cela, mais pourtant il ne fait pas grand-chose pour m'avoir. Je crois que je vais encore devoir faire le premier pas pour nous deux. Je ne tient pratiquement plus. Il me frustre et je n'aime pas cela, alors je vais prendre les choses en main. Ma main descend vers son caleçon, je joue un peu avec son élastique pour lui montrer ce que cela fait de jouer à un moment pareil. Fini de m'amuser avec son caleçon, je mets ma main dans son sous-vêtement. Je lui touche l'entre jambe tout doucement. Je le regarde dans les yeux pour voir ce que lui font mes caresses légères. Je sais, je suis une garce à ne pas appuyer mes caresses, mais je me venge de tout ce qu'il m'a fait avant... Je l'embrasse au bout d'un moment sans cesser ce que je fais. J'attends qu'il enlève son sous-vêtement et le mien. Je lui montre ce que je veux en lui prenant la main et en le mettant à l'intérieur de ma culotte. J'ai envie qu'il me masturbe, mais cela n'est pas très dur à comprendre....

- Prépare moi, donc Adrian...

Il m'avait frustré depuis tout le long, je n'en peux plus. Je commence à craquer et ses phrases ne m'aident pas à garder un minium de patience et de toute façon je ne suis pas patiente, alors j'envoie tout balader. Je prends sa main pour la mettre dans ma culotte pendant que mon autre main lui caresse son sexe gorgé de sang. Son pénis à l'air d'être grand et gros, je risque d'avoir mal au début, mais s'il fait attention cela ira et j'aurais ma première partie de sexe génial, car de toute façon c'est avec lui ; l'homme que j'aime.

Je l'embrasse, il répond à mon baiser. Je laisse ma langue jouer avec la sienne. Elle retrouve enfin sa jumelle, elles se battent dans un combat des plus sensuels. Nos mains ne restent pas en arrière plan. La mienne commence des petits va et viens sur son entre jambe et lui il joue avec mon clitoris. Je gémis dans sa bouche, cela est bon. C'est encore meilleur que je ne l'aurais cru. J'avais imaginé très souvent cette scène, mais cela est encore plus fantastique que mes rêves érotiques, ils font pâles à côté de cela. Mon coeur bat la chamade, son sexe crépite dans ma main. Moi je mouille et je gémis, car tout cela est indescriptible. Il a le plaisir d'être entre les mains de la personne qu'on aime et toutes l'excitations qui a entre nos deux corps.

Je sais que je ne peux pas lui demander de me faire l'amour tout de suite. Les préliminaires sont importants s'il ne me doigte pas et qu'il ne me prépare pas, je risque d'avoir très mal et de me déchirer quelque chose. Je n'ai pas envie d'aller voir un médecin après. Je ne veux pas que tout le monde c'est ce que je fais avec  mon frère cela est trop intime c'est entre nous deux.

Je soupire, il arrête de jouer avec mon clitoris, je le regarde dans les yeux. Pourquoi il arrête ? Mes mouvements sur son sexe ne sont pas bien ? J'arrête de me poser des questions quand je vois qu'il nous retire nos sous-vêtements. Nous sommes nus devant l'autre. Son sexe est fièrement dressé. Moi je ne le quitte pas des yeux, je ne me suis pas trompée, il est grand et gros cela va avoir du mal à passer, mais je m'en fous. Je le veux vraiment en moi et de toute façon il est trop tard pour reculer.

Sa main se rapproche de mon sexe. Il me rentre deux doigts dans le vagin. Je crie un petit peu, cela fait mal, mais il fait des mouvements de va et viens doucement ce qui remplace très vite la douleur. Je pousse des cries de plaisir, je finis par mordre mes lèvres pour pas qu'il attend. De plus je n'ai pas envie de faire rapliquer tout le monde si je crie trop fort. Les mouvements de ma main sur son sexe coordonnent avec ses va et viens dans mon vagin. Il me pince mon sein, mais je ne sens pas la douleur trop occuper à crier de bien être pour ce qui me procure.

Je lui avais dit de me préparer et c'est ce qu'il fait. Mon souffle devient de plus en plus chaotique. Il accélère ses mouvements de va et viens et il arrête de me toucher mes seins pour pouvoir mettre sa main sur mon clitoris. Il joue avec. Je ne sais pas trop quoi faire, mais mon corps à l'air de la savoir, car il bouge tout doucement pour que ses doigts rentrent plus profondément en moi. Je sens que ses doigts sont compressées dans mon vagin, mais en même tant je suis encore vierge, alors cela est normal, non ? Je ne peux plus me mordre le bras cela fait trop mal, je dois avoir une marque maintenant du coup je gémis sans aucune pudeur dans l'air libre. Il peut m'entendre et cela me fait bizarre, car je sens que son sexe est devenu encore un peu plus gros et qu'il est a son maximum.

-Ne t'en fais pas Larissa...

Il continue de me doigter tout en me disant cela. Je me sentais prête, j'en ai envie maintenant, je ne sais pas s'il va accepter, mais tant pis je tente de toute façon je n'ai rien à perdre.

- Adrian, j'en peux plus, prend moi... s'il te plaît.

Je le regarde bien dans les yeux pour lui montrer que je suis sérieuse et que je le veux vraiment maintenant en moi. Je sens que c'est le moment de passer à la vitesse supérieur et s'il me fait encore attendre, je sens que cela ne va pas me plaire du tout enfin ce n'est pas comme-ci qu'il n'aime pas s'amuser à mes dépends.

Nos corps étaient tellement bon l'un contre l'autre, pourquoi est ce qu'on aurai envie d'arrêter, l'infirmerie était fermer enfin je l'avais fermer et personne ne viendrais enfin nous avions encore du temps avant que notre chère infirmière n'entre au pire grosse partouze mais bon je ne voulais que Larissa et personne d'autre, j'aimais l'entendre prononcer mon nom et encore plus lorsqu'elle disait des trucs bien cochon, cela m'excitait encore plus.

Peut être que je l'avais frustré tout au long de nos touché mais bon c'était surtout pour bien la préparer, je ne voulais pas qu'elle ai mal pour sa première fois, je voulais qu'elle soit parfait comme prévu au tout début, je ne pouvais plus tenir et elle non plus, nous ne voulions pas le faire chez nous mais dans un endroit intéressant comme l'infirmerie.

Elle m'embrassait alors et je répondais au baiser, nos langue jouaient l'une avec l'autre et cette sensation c'était tellement bon de sentir sa salive et surtout sa langue, c'était vraiment sensuels et super sexy cela ne faisait qu'augmenter l’excitation, mes doigts étaient toujours sur son clitoris et elle avait mon membre entre ses mains, j'aimais sentir ses douce mains sur mon membre et encore mieux lorsqu'elle me faisait ses mouvements de va et vient c'est tellement bon, cela m'excitait de plus en plus et surtout lorsque je pouvais sentir qu'elle gémissait dans ma bouche et moi qui faisait de même.

j'arrêtais enfin de jouer avec son clitoris, elle me regardait dans les yeux et moi de même, j'enlevais alors nos sous vêtements pour commencer le réel défie, le réel amusement, je me tenais alors devant elle nu et elle de même, elle avait un corps tellement magnifique une poitrine voluptueuse et son vagin bien à l'air,

J'approchais mes mains de son vagin et y fis entrer deux doigts, elle criait un peu car cela faisait mal mais bon j'allais commencer mes va et vient de toute façon ce qui allait surement remplacer la douleur, elle criait des cries de plaisir et cela m'excitais encore plus, je lui pincés aussi les seins puis pris un mouvement plus doux sur ses tétons, ses mouvements sur mon sexe était aussi rapide que ceux dans son vagin et c'était tellement bon,

J'arrêtais de m'amuser avec sa poitrine et vint déposer ma main sur son clitoris elle avait donc deux doigts dans sont vagin et l'autre main sur son clitoris, je faisais des mouvements assez rapide et elle faisait de même, je sentais qu'elle bougeait comme pour demander encore plus dans son vagin, elle en voulait plus et moi je souriais en lui faisant un petit clin d’œil. elle avait une nouvelle fois gémis car mordre sont bras ne fonctionnerais pas plus longtemps, je continuais de sourire car l'excitation se faisait de plus en plus et mon sexe était arriver à sa taille maximal.

Je lui avais dit de ne pas s'en faire et je lui disais cela en continuant de la doigter, elle me dit ensuite qu'elle n'en pouvais plus et qu'elle voulait que je la prenne rhoolaaa que c'était bon d'entendre cela, je retirais alors mes doigts et frottais mon sexe sur son vagin pour l'introduire ensuite dedans en faisant doucement pour commencer, je sentis que c'était assez étroits ce qui prouvait qu'elle était vierge, voilà enfin que j'étais à l'intérieur de ma soeur, j'étais réellement dans le vagin de ma petite soeur et j'allais m'accoupler avec ma soeur de sang, c'était vraiment excitant, je gémis légèrement et sentis quelque chose de chaud cela devait être quelque goutte de sang sortant de son vagin.

Après deux minute de va et vient très très lent je commençais a aller plus vite normalement elle ne devrais pas avoir mal, j'allais un peu plus vite et mis mes mains sur ses cuisses pour les relever un peu, je retirais mes mains de la pour les mettre sur sa poitrine voluptueuse que j'aimais tant.

-Tu es tellement bonne Larissa ... Incroyablement bonne .... Je t'aime !!!! C'est trop bon !!

Je continuais alors mes va et vient en allant de plus en plus vite et mes mouvements sur ses seins était plus ferme à cause de la sensation que j'avais lorsque je la baisais.

Comment moi j'ai pu en arriver là ? Supplier quelqu'un et en plus mon frère ce n'est pas dû tout mon genre, mais on dit bien que l'amour rend aveugle et qu'il change les personnes ? Me change-t-il ? Non c'est impossible, c'est simplement à cause de l'homme que j'aime. Il est trop doué de ses mains. Il arrive à me faire gémir, crier en moins de deux et en même tant depuis ce matin on se cherchait, alors c'est normal que je craque et que je lui demande de me prendre maintenant, non ? Et même si ce n'est pas normal, je m'en fous. Je veux qu'il me prend, qu'il me fait l'amour. J'ai envie de lui depuis un moment déjà. Cela a commencé quand je me suis rendu compte que j'étais amoureuse de lui enfin cela devait être aussi avant, mais je ne m'en souviens surement pas de mes rêves érotiques de ce moment-là. Donc je disais cela à commencer quand je me suis rendu compte que je l'aimais comment je le sais ? Chaque matin je me réveillais mouiller, c'est même pour cela que j'ai pris l'habitude de me lever avant mon frère pour pas qu'il voit que le matin j'étais excitée à cause de rêves qui nous mettaient en pleine action. Enfin ce n'est peut-être pas le moment de penser, si ?

Adrian retire ses doigts de mon vagin, je pousse un cri de frustration, j'ai vraiment envie qu'il les remet, mais je sais que je vais avoir autre chose en moi. Je vais enfin avoir son pénis dans mon vagin, je vais savoir ce que ça fait de se faire baiser par l'homme qu'on aime. C'est bien ? Cela fait mal ? Je ne sais pas, mais plus pour longtemps. Il frotte son sexe contre mon entrée, je retiens mon souffle, il est plutôt imposant son sexe, je crois bien que je vais avoir mal, mais tant pis, il est trop tard pour reculer de toute façon.

Il rentre tout doucement en moi pour ne pas me blesser sans doute, je me crispe cela n'est pas la bonne solution. Je respire tout doucement si je continue de me crisper cela va nous faire mal à tous les deux. Je ne veux pas souffrir et qu'il souffre, j'ai envie que notre première fois soit parfaite. Au bout de quelques minutes cela va mieux, je suis plus crispée, il se met donc à faire des va et viens plus rapide. Je sens qu'un peu de sang coule ce qui prouve qu'il vient de me prendre ma première fois, je n'arrive pas à trouver le bon mot pour dire comment je me sens dans ses bras. Ce qu'il me fait c'est merveilleux, je gémis et il gémit aussi. En même tant comment ne pas gémir, alors que quelqu'un vous fait l'amour ? Cela est impossible, j'en suis sur même si c'est un viole, on est obligé de prendre du plaisir. Peut-être que notre cerveau n'aime pas ce qui se passe, mais notre corps oui. Quand on commence à faire l'amour, baiser, nous sommes des bêtes, on ne peut plus s'arrêter jusqu'à tant qu'on trouve le point de la jouissance.

Il me touche la poitrine, je commence à remarquer qu'il l'adore. Il l'adore peut-être même plus que moi, bref ce n'est pas le moment de supposer que l'homme qui me fait l'amour ne s'intéresse qu'à moi que pour mon corps, je sais très bien que ce n'est pas vrai. Combien de fois a-t-il pris soin de moi ? Je ne compte plus depuis que je suis toute petite, il a toujours été là pour moi pas comme notre mère qui ne nous regarde même pas. A croire que nous sommes des monstres et qu'elle ne veut pas nous voir plus que les fêtes. Bon on ne manque de rien, on a une maison hyper grande pour nous deux d'ailleurs il faudra qu'on fait une fête chez nous un jour. Je lui en parlerai plus tard, là de toute façon je suis trop occupée à crier son prénom pour lui dire que je veux organiser une fête à la maison.

-Tu es tellement bonne Larissa ... Incroyablement bonne .... Je t'aime !!!! C'est trop bon !!

Mes doutes sans volent avec cette phrase. Il m'aime, il vient de le dire à l'instant et pendant qu'on fait l'amour, il ne peut pas mentir, si ? Et même s'il peut mentir, je m'en fous, je veux croire qu'il m'aime et de toute façon il m'aime, je n'ai pas besoin d'y croire, je sais très bien que c'est la vérité et moi aussi je l'aime de tout mon coeur. Je suis folle de lui depuis ma tendre enfance, je lui ai gardé ma virginité jusqu'à ce jour et je lui donnerai ma main quand il me le demandera. Je ferai tout ce qu'il veut. Mon bonheur est son bonheur. Il est malheureux, je suis malheureuse sans lui je ne suis rien à part une fille bonne à rien faire.

- Moi aussi... Je t'aime

 Ma voix est saccadée, mais en même tant depuis qu'il a commencé à me toucher au plus profond de moi, je crie, alors c'est normal que ma voix commence à se casser un petit peu. En espérant que personne ne nous entend. Je n'ai pas envie de voir les regards moqueurs des autres sur moi ou lui. Je sens qu'il accélère et pour l'aider à aller plus vite, je bouge mon bassin en cadence avec ses mouvements. Je suis heureuse en ce moment, car je suis avec lui et que je sais qu'il ne me laissera pas. Il ne pourrait pas me faire cela, il est trop adorable pour me faire du mal. Sa poigne sur mes seins est plus ferme à cause de ses va et viens, mais cela ne me dérange pas bien au contraire cela me fait encore plus gémir. Je dis n'importe quoi, mais je répète surtout son prénom dans une litanie qui n'a pas de fin pour l'instant.

Son corps se contracte, il ne va pas tarder à jouir, je sens déjà sa substance sortir de son sexe pour venir dans mon vagin. Moi non plus je ne vais pas tarder à jouir et cela va être surement de ma faute qu'il va venir, car je me contracte, mon vagin se resserre sur son membre. Il doit être encore plus à l'étroit que tantôt. Son sperme sors de son pénis et moi je jouis en même tant que lui. Je crie et il crie aussi, je lui dis je t'aime et je crois bien qu'il me le dit aussi. Je ne sais pas, mes idées sont vagues, on doit surement être fatigué après cet effort. Je le laisse se retirer de moi, il s'allonge à mes côtés.

-Adrian on doit se rhabiller...

Je me lève, je cherche mes affaires sur le sol, je les enfile rapidement, je crois bien que je vais devoir faire semblant d'être pas bien pour qu'on rentre à la maison, j'ai envie de prendre une douche, je suis toute humide et j'ai son sperme à l'intérieur. Je devrais trouver cela dégueulasse, mais non. Je me rassoie sur le lit et je le regarde, il est vraiment trop beau.

- Je vais me reposer un peu, je suis fatiguer.

Je m'allonge dans le lit, quelques minutes plus tard je suis dans le pays des rêves. J'ai ma tête contre son épaule et ma main sur son ventre, je ne pourrai jamais dormir sans lui.

Je rêve ou je n'ai plus envie de me détacher d'elle, elle était tellement belle et tellement bonne de base pourquoi est ce que je voudrais me détacher d'elle, je l'aime et ça je le sais comment ne pas aimer une femme aussi belle qu'elle, c'était bien ma soeur et alors ? Je m'en foutais de toute façon nous avions beau avoir le même sang tout ce que je voulais c'était elle, je la voulais elle et personne d'autre, je pouvais voir une autre fille et m'en faire ma petite copine mais cette relation que j'avais avec ma petite Larissa était bien meilleur que tout.

J'avais retirer mes doigts de son vagin et elle avait pousser un cri de frustration, je ne pu m'empêcher de lâche run petit rire à cela, c'était trop mignon elle en voulait encore ? De toute manière j'allais m'amuser plus en profondeur de toute façon je frottais mon sexe sur son vagin puis j'entrais doucement pour ne pas lui faire mal, je voulais qu'elle sache ce que c'est que de faire l'amour, elle allait comprendre la sensation de bien être qui s'y trouve, elle allait surement prendre du plaisir et vu qu'elle le voulait elle aussi sa n'allait que rajouter du plaisir dans tout cela.

Je pouvais sentir qu'elle était un peu crispé à cause de la petite douleur que je ressentais sur mon pénis, son vagin était assez étroit et je sentis quelque chose de chaud couler sur mon membre c'était surement un peu de son sang, c'était bien une vierge ma petite chérie c'était bon à savoir que sa petite soeur était encore vierge et que c'était moi qui lui avait retirer sa virginité, mes mouvements se faisait de plus en plus rapide et je gémissais pratiquement à chaque fois tellement que c'était bon, je ne manqua pas de lui dire aussi que c'était vraiment trop bon et qu'elle était tellement bonne, je lui avais dit aussi que je l'aimais, je l'avais mes mains sur sa poitrine et je la serrais de plus en plus fort à chaque fois que j'allais un peu plus vite, elle gémissait mon nom ce qui m'excitais encore plus, je m'en foutais que quelqu'un rentre là de toute manière je voulais aller jusqu'au bout j'étais tellement exciter et c'était tellement bon de toute façon.

Elle me dit rapidement qu'elle m'aimait aussi avec une voix saccadé, elle commençait peut être à fatiguer, mes mouvements était plus lent puis je sentis mon corps se contracter et le siens aussi, elle bougeait son bassin ce qui faisait que les mouvements était plus rapide, j'accélérais alors mes mouvements pour aller plus vite et je sentais que j'allais venir, que j'allais enfin jouir, je commençait à jouir en gémissant assez fort et elle fit de même, je mis rapidement mes lèvres sur les siennes pour ne pas que sa soit trop fort sinon on allait surement nous entendre.

-Adrian on doit se rhabiller...

Oui c'était vrai nous allions devoir nous rhabiller, elle se leva et je m'étais bien évidemment retirer d'elle avant qu'elle ne se lève, elle cherchait alors ses affaires au sol et je fis de même les enfilant aussi rapidement, elle partit s'assoir sur le lit me regardant et me dire qu'elle allait se reposer un peu car elle était fatiguer, elle s'allongea sur le lit et je m'approcha pour l'embrasser à nouveau.

-Je t'attendrais à la sortie de l'école ma chérie...

Elle allait surement s'endormir et je me suis dis que je devais peut être la laisser mais j'avais tellement envie de rester avec elle de toute façon nous avions pris beaucoup de temps et le professeur allait surement se demander pourquoi est ce que je m'étais du temps à revenir enfin je sortis de l'infirmerie après lui avoir fait un bisou sur le front pour aller devant la porte de ma classe attendant qu'il sonne pour que je puisse partir à l'inter cour et me reposer un peu sur un banc de l'école.