Aujourd'hui c'est mon premier jour dans le lycée Occident d'Orient. Je vais enfin rentrer chez les grands, mes dernières années d'études et après je rentrerai dans la vie active. Je ne sais toujours pas ce que je vais faire plus tard. Je vais surement essayer de devenir une guitariste dans un groupe de rock. Je crois bien que je joue bien de cet instrument, cela fait tellement longtemps que j'en joue. J'ai commencé à vouloir une guitare à six ans, je l'ai eu pour mon noël et j'ai commencé à pendre des cours maintenant je vais être inscrit dans un club de musique, je vais surement connaitre d'autres personnes qui ont la même passion que moi.

Je me lève du lit de mon frère. J'ai passé ma nuit à ses côtés comme pratiquement tous les soirs. Il y a eu qu'une semaine que je n'ai pas voulu aller dans ses bras. Je m'étais rendu compte que je l'aimais plus qu'un frère. Je ne voulais plus me retrouver seule avec lui dans une pièce après cette déclaration à moi-même. Je n'aurais pas pu le regarder dans les yeux. Pourtant il a voulu savoir ce qu'il n'allait pas, j'ai fini par l'embrasser. Moi qui pensais qu'il n'aurait pas répondu cela n'a pas été le cas. J'ai senti ses lèvres contre les miennes s'activaient, mon coeur battait la chamade.

Il n'est toujours pas réveillé. Je me demande si je le réveille ou pas. Il risque de me crier dessus si je le fais. Il a déjà eu du mal à s'endormir de ma faute. Hier soir je n'arrivais pas à me taire, je lui parlais de tout ce qui me passait par la tête ce qui veut dire beaucoup de choses étant donné que je réfléchis beaucoup. Il vaudrait mieux que je ne prends pas le risque de l'énerver pour le moment. Il risquerait d'être de mauvaise humeur toute la journée et avec l'école qui recommence, il ne faudrait pas que cela arrive.

Je me lave sans faire de bruit pour ne pas qu'il entend que je suis debout. Je fais souvent du bruit pas possible quand je me douche. Cette fois, je n'ai pas fait de bruit. Direction la chambre pour prendre des vêtements. J'enfile une robe d'écolière, il va surement me dire que je veux trop être parfaite, mais ce n'est pas de ma faute si je suis heureuse d'aller en cours si ? J'aime apprendre, je veux tout connaitre, le savoir qu'on acquit c'est ce qu'il nous rend fort et je veux être une personne intelligente et cultivé. Je retiens très vite mes leçons, j'ai besoin de relire simplement deux fois le cours pour le connaitre pratiquement par coeur.

Je vais à la boulangerie pour chercher des petits pains et des croissants. Dès que je rentre, je prépare un chocolat chaud pour chacun de nous. Je mets tout cela sur un plateau et je monte les escaliers jusqu'à la chambre, je le pose sur la table de chevet. Je me mets dans le lit. Je ne devais pas m'endormir, mais pourtant je plonge dans le pays des rêves. Je ne peux pas d'écrire mon rêve, c'est plutôt magique, je sais simplement que je suis bien et que je ne voudrais plus me réveiller, mais pourtant je sens que quelqu'un me secouer, je grogne. On ne pourrait pas me laisser dormir ? Je suis bien au chaud en dessous des couvertures.

- Laisse-moi dormir !

J'étais à fond dans mon rêve, un rêve pas vraiment logique, il était incompréhensible dans toute sa splendeur, j'étais dans un endroit qui se trouvait être le ciel, il y avait des nuages à côté de moi et le ciel que je pouvais voir, j'avais l'impression de pouvoir toucher ce ciel bleu mais non car il est si vaste et que c'est pas du tout logique de pouvoir toucher le ciel enfin bon, je regardais vers mon dos pour moi si j'avais des ailes mais non je n'en avais pas, je ne comprenais pourtant pas pourquoi je volais mais surtout comment je faisais pour voler ainsi, tout ce que je savais c'est que j'étais dans les airs, j'étais entrain de flotter et il n'y avait rien en dessous de moi, il y avais de l'eau, rien en dessous de moi, rien à côté de moi à part les nuages, rien au dessus de moi, je me sentais tout de même un peu seul voir trop seul à mon gout, je soupirais sans cesse volant dans ce ciel si vaste que je pensais m'être perdu.

Soudain, les nuages deviennes gris et je descend légèrement d’altitude car je sais qu'il va y avoir quelque chose, le problème était que je ne pouvais pas me cacher car il n'y avait rien d'autre à part de l'eau, aucune terre à l'horizon, je commençais en plus à sentir de la pluie sur moi, j'entendais des bruits comme si une douche était enclenché, comme si quelqu'un était entrain de se laver, je n'étais désormais plus dans mon sommeil profond mais je dormais encore, cette fois j'étais dans le noir et il n'y avait plus rien, j'ouvris les yeux et vu du pains, des croissants et un chocolat chaud qui se trouvait sur un plateau, je soupira et regardais à côté de moi, c'était encore ma petite soeur que j'aimais plus que tout qui était dans mon lit, elle avait du se réveiller pour préparer tout cela et se rendormir plus tôt, aujourd'hui c'était notre premier jour de cour et j'avais doublé ce qu'il fait que je me suis retrouver dans sa classe, c'était tout de même un peu con que le grand frère se trouve dans la classe de sa petite soeur mais de toute évidence nous n'avions qu'un ans de différence après tout.

J'essayais de la bouger un peu mais elle grognait, elle ne voulait pas se réveiller et c'était normal, elle s'était éveiller pour faire tout ceci, je me suis lever de mon lit et pris le chocolat chaud pour le gouter, il était vraiment comme je l'aime et il était encore chaud ce qui voulait dire qu'elle venait de se recoucher là tout de suite, je soupira une nouvelle fois déposa mon chocolat chaud et retira d'un coup la couverture.

- Laisse-moi dormir !!

Non mais sérieusement, la laisser dormir alors qu'elle se permettait de se lever le matin pour nous faire un petit déjeuner magnifique, elle n'avait pas le droit de faire ceci, je l'aimais tellement et elle faisait tout pour que mes journées soit un pur bonheur, pour que lorsque je me réveille tout soit déjà prêt, lorsque j'avais retirer la couverture je l'a voyais en tenue d'écolière, elle était vraiment sexy dedans, je soupirais et continua de la faire bouger.

-Réveille toi, nous devons aller en cours !

Je soupira une nouvelle fois et me mis un petit peu dans le lit pour lui caresser les jambes, je voulais en quelque sorte la chatouiller pour qu'elle se réveille, je ne savais pas comment elle allait réagir mais bon dans tous les cas nous devions se lever pour manger et se préparer malgré qu'elle l'était en quelque sorte, j'arrêtais mes caresses sur ses jambes et partit m'habiller, je mis un tee-short blanc avec un gilet rouge, je mis un jeans bleu, je repartis prêt d'elle puis continua mes caresses, je lui frappa d'un coup les fesses.

-Bon tu te lève maintenant j'ai eu le temps de m'habiller et tout là ! Larissa !

J'avais réussi à retrouver le sommeil pourtant je sentais que quelqu'un à côté de moi s'activer. Je n'ai pas envie d'ouvrir mes yeux. J'ai envie de pouvoir me reposer encore un peu. La chaleur du lit et du corps à côté du mien était reposant. Alors pourquoi il faut qu'on me secoue ? Je grogne, je n'ai vraiment pas envie de me lever en plus le temps n'est pas beau dehors. Il faisait froid, j'avais dû serrer mon manteau contre moi pour aller chercher des petits pains. Je sentais qu'on me laissait en paix. Je sourie. Je mets mon pouce dans ma bouche et je laisse le marchand de sables m'emmener dans son monde.

Quelques minutes plus tard, je sens la chaleur partir. On a fait quoi pour que je grelotte d'un coup ? Cette fois ci je laisse ma voix s'élevait pour protester contre la personne qui me dérange depuis tant tôt. Pourquoi il faut toujours qu'on a besoin de moi ? Je suis une enfant moi, j'ai besoin de sommeil et d'amour. Je ne peux pas m'occuper de grands choses, alors laisse- moi dormir et débrouillez vous avec vos problèmes. De toute façon je m'en fous des gens, alors merde foutez-moi la paix, alors que je dors tranquillement et que je n'embêtte personne.

On me secoue encore. En plus on me parle et on me dit que j'ai école, mais je m'en fous moi de l'école pour le moment, ce que je veux c'est faire un gros dodo et être tranquille. Je ne suis pas contente du tout, on me fait des chatouilles sur les jambes, me secouer et me parler n'a pas suffis ? Je continue de grogner, mais pour bien faire comprendre à la personne qu'elle n'est pas de bonne compagnie je lui donne un coup de pied. Je n'ai pas la moindre idée de où j'ai tapé. De toute façon je n'ai toujours pas ouvert mes yeux, alors je ne sais pas qui sait, donc si j'ai visé une partie intime tant pis pour cette personne. Si c'est mon frère, je lui ferais des excuses plus tard. Enfin la personne se barre. Oui voilà je vais être seule. Je vais pouvoir me reposer sans qu'on me secoue et qu'on m'enlève ma chaleur. Je tâtonne le sol de l'une de mes mains pour trouver un bout de tissu qui pourra me tenir chaud un minium de temps. Je ne sais pas sur quoi je tombe, mais en tout cas cela à l'air d'être plutôt grand de plus c'est doux et cela sent bon. Je mets la chose que j'ai trouvé au-dessus de moi et je m'endors pour la troisième fois en moins d'une heure.

Je sursaute quand je sens qu'on me tape les fesses. Qui a osé me donner une claque sur mon fessier ? Je vais tuer cette personne. Je prends mon oreiller et je tape la personne avec. Non, mais merde quoi, on n'a pas le droit de me taper, alors que je fais que dormir. Je vais me plaindre à mon grand-frère qui va tuer l'édite personne qui a fait cela.

-Bon tu te lève maintenant j'ai eu le temps de m'habiller et tout là ! Larissa !

J'ouvre grand les yeux. Je regarde c'est la personne qui me parle. J'écarquille des yeux quand je vois que c'est mon frère. Merde j'ai donné un coup de pied à mon frère et je lui ai jeté un oreiller. Bon c'est de sa faute. Il avait qu'à pas me déranger et attend il m'a tapé. Il m'a tapé ? Je rêve ou quoi ? Non c'est impossible que je rêve la douleur est là. Il a levé sa main sur moi. Je ne suis pas dû tout de bonne humeur. Je lui fais un déjeuner et tout et lui il me remercie en me donnant la fessée.

Je lui saute à la gorge pour l'étrangler et je le secoue. Je vais lui faire comprendre qu'il ne faut jamais qu'il recommence cela où il va le regretter amèrement déjà là il mérite une correction de sa petite soeur chérie qu'il va déstester dans deux secondes.

-Tu me tapes encore une fois et tu y laisses ta vie !

Je me détache de lui. Je crois que j'ai serré trop fort, il a les traces de mes doigts sur son coup. Je respire un grand coup. Il risque de se venger, je ne pense pas qu'il a aimé que j'ai fait cela. Je me recule un peu de lui au cas où. Je n'ai pas envie d'y laisser la vie. Je sais me défendre, mais bon, je me suis calmée, alors je sais que je ne pourrai pas lui faire du mal, alors que j'ai conscience de ce que je fais.

Elle était vraiment saoulant sur ce coup là, je ne comprenais pas comment est ce qu'elle avait réussi à retrouver le sommeil, c'était incroyable, elle était déjà presque dans un sommeil profond et moi qui lui faisait grave chier pour qu'elle se lève ou plutôt il fallait qu'elle se lève et que ce n'était pas pour la faire chier mais car il fallait qu'elle le fasse, elle ne faisait que grogner, c'est vrai qu'elle avait fait un petit déjeuner parfait mais bon là c'était l'heure,

Je lui avais retirer la couverture, et je continuais de la secouer, je lui disais qu'elle avait école mais elle ne bougeait pas, je pensais qu'elle serait contente d'aller à sont premier jour de cour mais non elle ne bougeait pas, je lui chatouillais les jambes et elle grognais toujours, elle me donna un coup de pied et je mis rapidement ma main pour qu'elle le donne sur celle ci, je continuais pour autant à essayer de la réveiller mais rien, je la voyais qu'elle cherchait quelque chose, elle avait réussi à trouver quelque chose pour se réchauffer mais je n'allais pas la laisser ainsi, elle commençait à m'énerver et je devais lui montrer qui décidait ici.

Je lui mis une petite tape sur la fesse, elle sursauta et pris un oreiller pour me taper, je ramassa l'oreiller mais bon il ne me fit pas mal, j'arracha cette oreiller de ses mains pour la mettre par terre, je lui avais dit qu'il était temps de se lever et que j'avais même eu le temps de m'habiller, elle ouvrit grand les yeux pour regarder qui était entrain de lui parler, elle écarquilla ses yeux lorsqu'elle me voyais, elle me sauta dessus pour m'étrangler et me secouer et elle me dit ensuite.

-Tu me tapes encore une fois et tu y laisses ta vie !!!

Je ne pouvais m'empêcher de rire puis de prendre d'un coup un air plus sérieux, elle se détacha de moi et je pouvais sentir ses traces sur mon cou, elle ne m'avait pas vraiment fait mal, j'étais un homme après tout et pour protéger ma famille je me devais d'être fort fin bref, elle se recula au cas où mais de toute évidence elle allait le regretter, je soupira une nouvelle fois puis ferma les yeux.

-Moi ... y laisser la vie ... Tu sais à qui tu t'adresse ainsi petite effronté !

Malgré qu'elle recula, je me jeta sur elle puis la jeta sur le lit pour me retrouver au dessus d'elle, nous étions des frères et soeurs vraiment bizarre, nous n'étions pas normaux du tout, je la regardais dans les yeux et souriais d'un air malsain, j'approchais mes lèvres des siennes pour l'embrasser, après l'avoir embrasser je mis mes mains sur son cou et continuais de sourire.

-Larissa .... C'est toi qui veux mourir à ce que je sache ...

Je lui lâcha le coup, puis la retourna d'un coup pour pouvoir lui coller quelque claque sur ses fesses, vu qu'elle avait mis un uniforme d'écolière, elle avait mit une jupe que je souleva pour venir mettre mes mains dessus, toucher ses belles fesses m'excitait plus qu'autre chose mais je ne faisais cela que pour la taquiner, je me leva et commença à rigoler, je commençais donc à courir dans la maison en prenant rapidement un croissant que je mangeais en même temps pour m'enfuir dans la cuisine.

-Tu me tapes encore une fois et tu y laisses ta vie !

On ne m'a jamais tapé avant aujourd'hui et lui il ose me faire mal, alors que je suis sa petite soeur. Il a un problème dans sa tête ou quoi ? Je n'ai pas pu m'empêcher de lui sauter à la gorge. On dirait un petit chien enrager. Je deviens un animal à cause de lui. Je m'étais vite détacher de lui quand j'avais remarqué ce que je faisais. Je m'étais reculé, car je savais qu'il allait se venger. Nous détestons tous les deux qu'on nous manque de respect et là je lui avais manqué de respect en le menaçant de mort. Il rigole, je suis surprise sur le coup, mais je vois très vite qu'il reprend un visage sérieux. Mon heure a sonné ! Pourquoi j'ai fait cela ? Car on ne m'a jamais tapé et maintenant on va me faire regretter d'être méchante quand on me touche de trop près. Il soupire et ferme les yeux, j'essaye de me sauver encore plus, mais je ne peux pas. Je trouve cela excitant de voir ce qu'il va faire.

-Moi ... y laisser la vie ... Tu sais à qui tu t'adresse ainsi petite effronté !

Je m'adresse à mon frère non ? Enfin sur le moment il ressemble plutôt à un monstre. Il me saute dessus. Nous roulons dans le lit. Nous avons de la chance que c'est un deux personnes où nous aurons déjà été sur voir le sol. Il est au-dessus de moi. Je rougis à cause de l'air malsain qu'il affiche. Nous ne sommes pas normal comme frère et soeur, nous nous aimons, mais pourtant on se dispute comme deux personnes de la même famille ce que nous sommes. Il me regarde dans les yeux, je n'ai pas encore mis mes lentilles alors il peut voir toutes mes réactions et là il voit bien que je le mets au défi de m'embrasser. Il le fait, je lui réponds étant donné que je l'aime et que j'adore quand on s'embrasse. Quand il arrête le baiser je lui mords la lèvre pour lui dire que je ne suis pas contente qu'il arrête notre baiser, alors qu'il n'a pas dû tout était poussé.

Il sourie, car il voit que je boude, j'ai envie de lui faire manger son sourire, mais bon je reste calme pour le moment. Je risque de le regretter encore sinon et je vois qu'il en a pas fini avec moi, merde. Je voulais me changer, il doit avoir des plis à ma tenue étant donné que je me suis rendormie comme une quiche. Il met ses mains sur mon cou, je commence à m'inquiéter et cela se voit dans mes yeux qui se troublent légèrement de peur.

Larissa .... C'est toi qui veux mourir à ce que je sache ...

C'est moi qui veux mourir ? Non je ne veux pas mourir. Je lui mords la main pour qu'il lâche mon cou. Je tiens à la vie... Il me retourne, zut je l'ai encore énervé. Ma punition va finir quand ? Je sens ma jupe se faire relever. Il me fait quoi ? Il veut qu'on va plus loin que s'embrassait ? Non, mais il n'a pas le droit de vouloir cela maintenant, ce n'est pas comme-ci que je n'ai pas envie, mais on a école. Il ne faut pas qu'il croit qu'il peut me réveiller pour cela, on a le temps pour faire nos désires. Là nous avons école, je vais pouvoir apprendre de nouvelles choses, alors le sexe passe après mon savoir. Je sens qu'il me tape encore mes fesses, mais putain qu'il arrête de me taper là, je vais avoir des marques après. Et en plus là il ne tape pas fort et cela me fait de l'effet. Je ne sais pas trop expliquer l'effet qu'il me fait, mais je n'aime pas du tout cela car cela me donne envie de sécher les cours, alors que ce n'est pas dû tout mon style.

- Adrian arrête s'il te plaît !

Il s'arrête et se sauve en courant en rigolant. Je me lève. Je me regarde vite fait dans le miroir, mes joues sont rouges et j'ai le souffre saccadé, mais pourtant je lui coure quand même après. Je dois être folle dans un sens. Quand j'arrive dans la cuisine, il est là. Je marche doucement vers lui, il ne m'a pas entendu. Je lui saute sur le dos et je reste coller à lui. Tant pis pour la tenue, j'ai décidé que j'allais l'embêter pour me venger de ce qu'il m'a fait plus tôt. Je prends l'une de ses oreilles entre mes lèvres et je la mordille tout doucement. Mon souffle doit lui chatouiller l'oreille, mais je m'en fous.

- Ne joue pas Adrian, tu risques de te bruler.

Je me laisse glisser sur le sol. Je m'assoie sur l'une des chaises de la cuisine. Je joue avec mes doigts. Je ne sais pas ce qu'il me prend de faire ce que je fais. Ce n'est pas dans mes habitudes de chauffer quelqu'un pourtant là c'est ce que je fais avec Adrian. Je suis gêner de mon propre comportement. J'essaye de reprendre ma respiration, la course poursuite dans la maison m'a épuisé.

C'est vrai que je n'avais jamais taper ma petite Larissa mais bon là elle ne voulait pas se réveiller alors qu'il fallait aller à l'école, elle avait l'air vénère lorsqu'elle se réveilla et bon cela pouvait se comprendre, je l'avais tapoter les fesses et personne ne l'avais taper jusqu'à maintenant, j'allais de toute évidence me venger des traces qu'elle m'avait mis sur mon cou, en plus avec des menaces de mort, elle devait vraiment faire attention à ce qu'elle faisait, j'avais repris mon air sérieux et je la regardais pour lui dire.

-Moi ... y laisser la vie ... Tu sais à qui tu t'adresse ainsi petite effronté !

C'est sur que je ne pourrais jamais mourir de ces mains, elle ne pourrait jamais me tuer mais moi non plus d'un côté car elle avait beau être ma soeur je l'aimais en amour, je l'aimais vraiment plus que tout et je l'avais protéger jusqu'à maintenant pour qu'elle soit mienne, un mariage entre nous était surement impenssable mais nous n'étions pas obligé de se marié non plus dans la vie si ? M'enfin bref, je la regardais toujours dans les yeux et je l'avais envoyer sur le lit, je voyais cette air de défi dans sont regard et l'embrassa directement, ce baiser était vraiment magnifique, j'aimais l'embrasser qu'elle soit ma soeur ou non elle était magnifique de base, lorsque je décolla mes lèvres des siennes, elle me mordis la lèvre surement pour me dire qu'elle n'était pas contente, je fis sortir un petit "Aie" je souriais car je pouvais voir qu'elle boudait, c'était vraiment trop marrant, je lui dis ensuite après avoir mis mes mains sur son cou juste pour un peu petit peu lui faire peur, que c'était elle qui voulait peut être mourir mais bon, je l'avais déjà retourner pour lui foutre des claques aux fesses, ces claques ne faisait pas vraiment mal car d'un côté je caressais légèrement ses fesses.

- Adrian arrête s'il te plaît !

Elle voulait que je m'arrête mais bon c'est ce que je fis, je me suis lever et pris un croissant et partit en courant, j'étais entrain de finir le croissant que je mangeais et je me suis arrêter de courir, j'étais donc arriver dans la cuisine et j'attendais simplement qu'elle arrive, elle me sauta d'un coup dessus et pour se venger elle me pris l'une de mes oreilles entre ses lèvres pour la mordre doucement, je laissais passer des petits "Aie aie" de ma bouche et l'entendis dire ensuite.

- Ne joue pas Adrian, tu risques de te bruler.

Elle se laissa glisser sur le sol pour s'assoir sur une chaise de la cuisine, elle jouait avec ses doigts et je trouvais cela vraiment mignon, c'était vraiment chauffant tout ce que l'on faisait, des réveils comme ceux là nous n'en faisions pas tout plein mais la plus part était ainsi, dés le matin nous étions souvent dans les bras de l'autre sauf quand notre mère était là, en attendant je me suis tourner vers elle puis m'approcha rapidement et la pris directement pour la mettre sur la table, elle avait les jambes écarté et moi j'étais entre ses jambes la, j'étais toujours avec mon sourire et approchais mes lèvres des siennes pour l'embrasser à nouveau, je décolla mes lèvres pour lui mordre les siennes puis je lui tira les joues et repartit en courant vers la chambre en criant partout dans la maison.

- Larissa est une cochonne !!! Larissa est une cochonne !!!

Je ne pouvais m'empêcher de rigoler et de rougir en même temps, arriver dans la chambre, je me jeta sur le lit nous devions surement partir à l'école mais bon rien ne valait de se marrer un peu le matin pour bien commencer la journée, j'étais déjà exciter dés le matin et bon je m'étais mis sur le lit en attendant qu'elle se ramène vu mes provocations, je me leva rapidement et bu un peu de mon verre de chocolat "froid" et me rejeta sur le lit.

- Larissa d'amour ?????!

- Adrian arrête s'il te plaît !

Il arrête de me donner des claques sur mes fesses, j'en suis soulagée. Je commençais vraiment à vouloir plus que ses minuscules caresses. J'ai envie de lui, mais cela c'est depuis longtemps. Je rêve souvent de lui entrain de me faire des choses qui ne sont pas catholique. Ma mère ferait un arrêt cardiaque si elle savait ce que sa petite fille pense. Pourquoi il a fallu qu'il choisit le jour de la rentrée pour me faire ceci ? Si cela aurait été un jour où nous n'avons pas cours, je lui aurais sauté dessus et j'aurais perdu ma virginité avec la personne que j'aime le plus au monde. Malheureusement nous avons école, alors il faut que je calme mes envies avant de lui demander d'aller plus loin. Il s'en va de la pièce, je laisse un soupire s'échapper de mes lèvres. Je prends un grand bol d'air avant de courir à sa suite.

Je le rattrape bien vite. Il est da ns la cuisine, il doit m'attendre. J'avance à pas de loup pour pas qu'il m'entend. Je lui saute dessus. Aujourd'hui on n'arrête pas de sauter l'un sur l'autre à croire. Nous avons souvent des matinées comme cela, mais aujourd'hui elle n'est pas comme les autres. D'habitude on se prépare et on fait des câlins et ça s'arrête là. Mais là j'ai envie de plus, alors qu'on ne peut pas le faire. Je lui mordille l'oreille. Je trouve cela plus tôt marrant d'entendre ses "aie" alors que je ne lui fais pas mal. Il est bien plus fort que moi physiquement, mais je me débrouille pas mal quand je suis en difficulté. Je lui murmure à l'oreille qu'il ne devrait pas jouer où il risque de se bruler.

Je glisse de son dos pour me mettre sur une chaise. Je joue avec mes doigts en pensant à ce que je viens de faire et dire. C'est moi qui joue avec lui, je le chauffe, alors que je sais que je ne pourrai pas lui calmer ses envies, car on nous attend dans moins d'une heure. Je suis vraiment folle, je dis des choses, alors que c'est moi qu'il fait ce que je dis. Enfin lui aussi il a joué avec moi, il ne m'aurait pas donné ses claques sur mes fesses, je serai restée calme et rien de tout ceci se serait passé .

Il me porte jusque la table. Je le regarde faire. Il veut faire quoi encore ? J'écarte mes jambes pour lui laisser de la place. On pourrait penser qu'on fait des choses sexuelles à cause de la position, mais nos habits sont bien présents pour empêcher une personne qui nous apercevrait de croire cela. Il pose ses lèvres contre moi. Je réponds à notre baiser activement. Il est aussi bon que d'habitude voir plus à cause du désir qu'on c'est donné à nous chercher. Il termine le baiser en me mordant les lèvres. Il me tire les joues, on dirait un enfant. Je soupire, je trouve que nos baisers se terminent trop vite si cela me concernait que moi, je l'embrasserai toujours et j'enverrai tout valser. Je le vois courir encore une fois, j'hausse les épaules avant d'entendre sa voix s'élevait.

- Larissa est une cochonne !!! Larissa est une cochonne !!!


Quoi je suis cochonne ? Non mais il a fini de dire des conneries pareilles lui ? Je ne suis pas dû tout cochonne, c'est lui le cochon. Il vient de se mettre entre mes jambes, alors que je ne lui ai rien demandé moi. Bon je lui ai laissé de la place, mais ce n'est pas une raison pour me traiter de cochonne. Il sait au moins la signification de ce qu'il vient dire ? Je me mets à courir jusqu'à la chambre, car j'en suis sûr que c'est ici qu'il est.

- Va te faire foutre !!!

Je le vois allonger dans le lit. Alors monsieur veut jouer, alors nous allons joué. Il a dû oublier que je suis joueuse comme tout. Il va regretter ce qu'il a dit. Je ne laisserai pas un tel affront un puni. Je fais un sourie de folle qui a trouvé sa proie pour la déchicter en morceaux.

- Larissa d'amour ?????

Non, mais genre il me dit Larissa d'amour, alors qu'il vient de me dire que je suis une cochonne. Je ferme la porte à clé pour être sûr qu'il ne s'enfuie pas. Je marche tout doucement vers lui. Il n'a aucun moyen d'échappatoir. Quand j'arrive près de lui, je me mets à califourchon au-dessus de lui. Je l'embrasse dans le cou, je remonte jusque ses lèvres et je les mords pour finir par arriver jusqu'à ses oreilles. Je les lèche une à une et je finis par lui dire.

- C'est toi le cochon. Regarde dans quel état que tu es.

Je ne suis pas forcément mieux, mais je ne dois rien montrer. Il ne faut pas qu'il retourne mes arguments contre moi-même. Je passe ma langue entre mes lèvres et je fais le contour de celle-ci.

- Adrian... Avoue que ta petite soeur te fait de l'effet.

J'avoue que je n'arrêtais pas de lui donner des claques mais bon c'était trop marrant et trop sexy de toute évidence, j'aimais vraiment lui faire cela, ce n'était pas dans mes habitudes de jouer ainsi avec ma petite soeur mais bon nos contacts était plus que magnifique, j'avais envie d'elle mais nous devions aller en cour de toute façon, on ne pouvait pas s'attarder plus longtemps mais pourtant normalement nous avions vite fait le temps de se taquiner l'un l'autre,

Elle m'avait sauter dessus lorsque j'avais atteint la cuisine, je savais qu'elle me trouverait mais bon, je ne pensais pas qu'elle me sauterais dessus, je l'avais donc lever puisqu'elle s'était assise sur une chaise et elle avait écarter ses jambes, c'était une position vraiment excitante, je n'arrivais presque plus à tenir mais bon je me devais de tenir, elle me murmura à l'oreille que je ne devais pas jouer ou sinon je risquais de me bruler mais bon elle aussi de toute manière donc je n'avais pas peur.

J'avais quitter la cuisine après l'avoir embrasser et je commençais à crier comme un gamin comme quoi Larissa était une cochonne, je savais qu'elle n'allait pas aimer ceci et bon ça allait surement la mettre dans tout ses états comme ce matin, je ne pouvais m'empêcher de rigoler et de faire le gamin mais je ne faisais cela que parce que j'aimais jouer avec elle, j'aimais jouer avec ma petite soeur chérie que j'aimais de tout mon coeur, cette jeune fille qui ressentait des sentiments pour moi et vis vers sa, j'étais donc arriver dans la chambre et j'avais pris un verre de chocolat puis me suis mis sur le lit, je la vis arriver et la vie surtout arriver, elle avait crier haut et fort.

- Va te faire foutre !!!

J'étais donc allonger sur le lit et je la voyais devant moi, je me suis surement dit que j'allais regretter tout ce que j'avais fait ce matin mais bon elle n'avait qu'à pas dormir autant, c'était elle qui devait être puni, je lui avais dit donc d'un ton un peu charmeur et doux, mais surtout mignon.

- Larissa d'amour ?????

Elle ferma la porte à clé, je n'avais pas compris pourquoi elle avait fait cela, surement pour m'empêcher de sortir, j'étais pris au piège et je ne savais pas quoi faire, elle arrivais près de moi en califourchon au dessus de moi et m'embrassa au cou ce qui m’excitais légèrement, elle remonta jusqu'à mes lèvres pour me les mordrez et arriver sur mes oreilles pour les lécher, je rougis légèrement et l'entendis dire.

- C'est toi le cochon. Regarde dans quel état que tu es.

Je ne pouvais m'empêcher de rire, elle passais sa langue entre ses lèvres et bon vu qu'elle m'avait en quelque sorte bloquer ici, nous allions surement arriver en retard à l'école, notre première journée de cour était peut être un échec mais bon ça allait tout de même être excitant que de passer cette journée avec elle, cette mâtiné avait été plus qu'excitante après tout.

Je ne parlais pas à cette provocation, elle était vraiment excitante c'est sur je pourrais presque dire bandante mais bon c'était maintenant trop tard pour faire marche arrière autant continuer de jouer, je souris et la retourna d'un coup mais avant cela elle me dit.

- Adrian... Avoue que ta petite soeur te fait de l'effet.

Je l'avais donc retourner et souleva légèrement sa jupe pour mettre ma main sur son slip, je souris et toucha vite fait pour constater que c'était mouiller, je retira ma main de la et rigola d'un coup, j'approchais ma tête de la sienne pour lui dire.

-Non, c'est plutôt toi qui devrais regarder dans quel état tu es.

J'étais cette fois plongé dans ses beaux yeux, elle ressemblait vraiment à notre mère et moi j'avais le portrait de notre idiot de père, cela m'énervait en quelque sorte mais bon cela ne devait pas traverser mon esprit, en attendant j'étais entrain de m'amuser avec mon amoureuse de toujours, je lui mordis la lèvre pour lui dire enfin.

-J'avoue Larissa ... Tu me fais un effet incroyable ... Mais il ne faudrait pas que l'on oublie que tu devrais aussi avouer que ton grand frère te fasse de l'effet.

J'étais vraiment exciter et cela se voyait et vu que j'avais sentis qu'elle mouillait vraiment, elle aussi était tout autant exciter, moi j'avais mon membre qui était pratiquement en érection, je déposa mes lèvres sur les siennes pour me mettre à l'embrasser langoureusement, je n'avais aucune échappatoire de toute façon donc autant accepter ma sentence.

- Larissa d'amour ?????

Il me dit cela sur un ton charmeur. Je n'ai pas envie qu'il essaye de me charmer, je le suis déjà, alors il n'a pas besoin d'en rajouter. Bon aujourd'hui je suis plutôt d'humeur à le faire souffrir, car monsieur a décidé qu'il fallait jouer avec sa petite soeur avant d'aller en cours. J'ai l'habitude qu'on se chamaille de si bon matin, mais là c'est encore plus bizarre qu'avant. Je ferme la porte à clé, bien évidement je les laisse sur la porte pour pas les perdre. Pourquoi je fais cela ? Il y a la raison pour pas qu'il s'échappe de cette pièce avant que je le fais souffrir un minimum, mais il a aussi l'envie de ma part de rester avec lui toute la matinée dans cette pièce et faire ce que nous n'avons encore jamais fait. Penser à ce que cela ferait si on le fait ensemble, bien sûr que j'y ai pensé. Je n'arrête pas de me demander ce que cela ferait. J'en rêve même tous les soirs, c'est pour cela que je me lève plus tôt que lui. Je ne veux pas qu'il voit dans quel état je suis à cause de simples rêves érotiques.

Je m'avance vers lui. Je marche en bougeant mes hanches pour l'exciter. J'ai un plan pour lui faire regretter ce qu'il a dit plus tôt. Je ne laisserai jamais ses paroles impuni. Il mérite que je l'étrangle, le fouette, ... Mais je sais très bien que je pourrai lui faire aucun mal. Je l'aime trop, je ne peux pas concevoir ma vie sans lui, alors lui faire du mal pour moi c'est inenvisageable. Arriver à son chevet, je monte sur lui et je me positionne à califourchon. Je le regarde dans les yeux avant de l'embrasser dans le cou. Je le suce un peu, mais pas au point de lui laisser un beau suçon sur la peau. Je voudrais bien prouver à tout le monde qu'il est à moi, cela est qu'un rêve, personne n'acceptera qu'un frère et une soeur s'aime. Nous allons être exclu de la société. Dans un sens cela ne me dérange pas d'être exclu tant qu'il reste avec moi. J'ai besoin que de lui de toute façon, mais il n'acceptera jamais de se montrer au grand jour, alors je ne dois pas penser à me montrer main dans la main avec lui dans les rues.

Fini avec son cou, je monte jusqu'à ses lèvres pour les mordre. J'ai envie de lui faire mal comme ses paroles mon blessé dans mon égos. Je suis une fille, pourtant j'ai une fierté et là il a touché à cette fierté en me disant que je suis une cochonne. Je suis un peu aguichante, mais toute fille bien constitué doit l'être. Nous sommes faites pour séduire les hommes et les aimer. Bon je ne séduis pas n'importe quel homme ; je le séduis lui, il a que lui que je veux et cela est depuis ma plus tendre enfance. J'ai toujours été avec lui, c'est peut-être pour cela que je l'aime. Il a pris soin de moi, alors comment ne pas aimer une personne qui vous chérie ? Cela est impossible. Enfin bref j'ai mon souffle qui doit lui chatouiller le cou, mais plus pour longtemps étant donné que je monte ma bouche à ses oreilles que je mordille. Je me suis trouvée un fétiche pour les oreilles. Je les trouve adorable et en plus je peux murmurer tout ce que je veux.

- C'est toi le cochon. Regarde dans quel état que tu es.

Il rigole de ce que je viens de lui dire. J'ai envie de le taper, mais je me retiens. Je passe ma langue sur mes lèvres. Je léve ma tête vers l'horloge pour voir quelle heure il est. Nous avons encore quelques minutes avant de descendre. Je n'ai vraiment pas envie d'être en retard pour le premier jour et je ne sécherai pas les cours. Même si un jour, je suis malade ou quoi j'irais en classe. Je ne peux pas me permettre de louper un cours. J'ai besoin de tout le savoir que je peux acquérir pour faire ce que je veux faire plus tard de ma vie. Je hausse les épaules.

- Adrian... Avoue que ta petite soeur te fait de l'effet.

Il me retourna quand je lui dis ses paroles. Je le regarde dans les yeux, j'attends de voir ce qu'il va faire. Il va surement me surprendre, il est imprévisible quand il si met. Il met sa main en dessous de ma jupe. Je n'écarquille même pas des yeux, cela ne me surprend pas, il va retourner mes arguments contre moi. Je mouille... Il va très vite s'en rendre compte. Il touche vite fait mon shorty. Quand il a fini de constater qu'il me fait aussi de l'effet, il enlève sa main. Je soupire de soulagement. Mes envies n'arrêtent pas de devenir de plus en plus forte aujourd'hui et s'il continue à me faire des caresses comme cela je ne vais pas résister longtemps.

-Non, c'est plutôt toi qui devrais regarder dans quel état tu es.

Je n'avais pas besoin de regarder dans quel état j'étais, je le savais très bien. Je laisse mes yeux le dévorer des yeux et il fait de même. Je me demande à quoi il pense son visage se crispe légèrement. Cela doit surement avoir un rapport que je ressemble à notre mère et lui à notre père. Pour moi cela n'est rien. Notre père est parti à ma naissance, donc je ne l'ai pas connu, alors pour moi c'est comme-ci il n'a jamais existé, mais pour lui ça doit lui faire du mal. Il a quand même des photos de lui et de cet homme qui nous a donné la vie. Il me mord. Quand il le termine, je lui sourie et je mets ma main sur sa joue.

-J'avoue Larissa ... Tu me fais un effet incroyable ... Mais il ne faudrait pas que l'on oublie que tu devrais aussi avouer que ton grand frère te fasse de l'effet.

Oui j'ai raison, je lui fais de l'effet. Je suis contente, mais je ne dois pas oublier qu'on n'a pas le temps. On va finir par être en retard au lycée si on continue dans cette voix. Forcément qu'il me fait de l'effet mes sous-vêtements le savent très bien, bon lui il ne savait pas avant aujourd'hui, mais ce n'est pas la mort si ? Il m'embrasse langoureusement, je réponds à son baiser avec toutes les émotions positives que j'ai en moi. Je passe mes mains derrière sa nuque. Je termine le baiser, car je n'ai plus de souffle pour une fois cela ne me dérange pas que le baiser se termine.

-Je n'oublierais jamais que tu me fais de l'effet Adrian, cela est impossible...

C'était même sûr que je ne pourrai jamais oublier qu'il me fait autant d'effet. J'ai toujours envie de lui sauter dessus dans n'importe quel moment. J'ai envie de lui retirer ses vêtements et de voir son corps que j'imagine dans mes rêves, bon j'imagine simplement son entre jambe, car le reste je l'ai déjà vu en vraie. Il se balade souvent torse nu dans la maison, alors je le regarde sans qu'il le voit pour pas qu'il voit que je bave, car il est trop beau. C'est pour cela qu'il ne c'est pas rendu compte avant aujourd'hui qu'il me fait de l'effet.

-Grand frère... On doit parti.... On va être en retard à l'école. 

Je sais, j'ai le chic pour tout gâcher les moments merveilleux, mais j'ai vraiment envie d'aller à l'école moi, alors tant pis, on continuera cela plus tard s'il veut toujours.

- Ce soir, si tu veux ....

Elle était sur moi à califourchon, c'était vraiment excitant, elle avait beau être ma petite soeur, l'excitation était tout de même la, elle était une femme et moi un homme, c'était ainsi et pas autrement malgré notre sang de famille, j’espérais qu'on me dise un jour qu'enfaite j'ai été recueilli par cette famille et que ce n'était pas ma vrai famille pour pouvoir crier haut et fort que je l'aime, cette petite Larissa qui me fait tant d'effet, je sentais ses lèvres sur mon cou et sentais qu'elle le suçait, cela me fit légèrement gémir, c'était tellement excitant, elle était remonter vers mes lèvres pour me les mordre, aujourd'hui c'était notre passe temps, se mordre les lèvres, tellement excitant et tellement mignon, elle se vangait surtout de ce que je lui avas dit j'avais pu le sentir lorsqu'elle me mordais les lèvres, un petit "aie" se fit rapidement entendre, elle me disait que c'était moi le cochon vu l'état dans lequel j'étais, je pouvais avouer que mon membre prenait de plus en plus de largeur et de hauteur mais bon j'arrivais tout de même à gérer cela en temps normal, elle enchaina par me demander d'avouer qu'elle me faisait de l'effet, aussi tôt dit je l'avais retourner pour lui montrer que elle aussi était sous ce même effet, sa culotte était bien mouiller et je ne pouvais m'empêcher de sourire à cela, elle n'était même pas étonner que je la touche comme si cela lui importait peu bon de toute évidence elle m'aimait et moi de même donc ce n'était pas vraiment un problème pour nous deux, je lui avais dit qu'enfaite c'était elle qui devais regarder dans quel état elle était mais bon elle le savais surement vu qu'elle devait savoir qu'elle mouillait terriblement.

Après ma morsure elle mit ses mains sur ma joue et je l'embrassais avec un baiser plein d'émotion, elle répondis à ce baiser et me dit qu'elle ne pouvait pas oublier l'effet que je lui faisait et que cela était impossible, je ne pouvais m'empêcher de sourire à cela, le baiser fut rompu elle me dit ensuite qu'on devait partir car on allait être en retard à l'école, pour moi cela m'importait peu car j'avais doublé mon année et donc que cette année allait être facile, mais bon elle ne voulait surement pas rater sont premier jour de cour c'était dommage que l'on ne puisse pas aller plus loin mais bon je n'allais pas la retenir contre sont grès, je la regardais et elle me dit ensuite.

- Ce soir, si tu veux ....

Ce soir n'allait pas être comme maintenant, l'excitation était là maintenant et cela n'allait pas être la même chose ce soir elle ne savait peut être pas encore cela que reproduire la même excitation n'était pas possible, c'était pratiquement impossible on aura beau s'exciter ça ne sera jamais comme la fois d'avant, je lui souris tout de même et fis bouger simplement ma tête pour confirmer cela, je me leva de ma place pour terminer vite fait un croissant et prendre mon sac pour me diriger vers la sortie de notre demeure, j'attendais simplement qu'elle soit prête pour que nous puissions partir tout les deux en même temps vu que de toute manière nous étions dans la même classe.